ETUDES sur LIBERMANN
(P. Martins)


  Date : 08-07-1830
Titre : Si notre s?ur se marie maintenant
Clé : Henoc Ester Isaac et Sara
Destinataire : Samson Libermann,

5980 "Si notre sSur (Ester) se marie maintenant, cela ne doit pas nous affliger trop, quoique au premier abord cela semble l'éloigner de la foi; car nous ne connaissons pas les adorables secrets de la divine Providence; peut-être ce mariage ne sera-t-il qu'un moyen dont la miséricorde de Dieu veut se servir pour la ramener à sa divine croyance; peut-être, si elle ne s'était pas mariée à celui-ci, elle se serait mariée à un autre qui eût été encore pire."


Sources : LS 1- pp. 12-13
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 01-01-0
Titre : Esther Libermann et son mari
Clé : Henoc Ester Isaac et Sara
Destinataire : ,

5981 Esther, sSur de notre Vénérable Père, fut mariée, malgré son père, à un nommé Libmann, qui avait étudié avec notre Vénérable Père, à Metz et était, jusqu'à la conversion de notre saint Fondateur, son ami le plus intime, et c'est pourquoi el eut Sara (sic) pour épouse. Ce même Libmann, qui briguait une place de rabbin, y a renoncé à la conversion de notre Vénérable Père pour se faire instituteur judaïque... Il avait deux enfants de Sara (1) : un garçon et une fille... (1) Il faut toujours lire Sara.


Sources : ND 1- pp. 10
Réf-bible :
Remarque : Voir la suite.
 


  Date : 01-01-0
Titre : M. Libmann, le mari d'Esther
Clé : Henoc Ester Isaac et Sara
Destinataire : ,

5984 Il a été compagnon d'études et ami de Jacob. Selon lui, le Vénérable aurait fait de brillantes études... Il aurait aussi vu notre Vénérable Père commettre, deux ans avant sa conversion, une faute grave contre les lois fondamentales du judaïsme (ND 1, 12-13). M. Libemann, ancien clerc d'avoué à Saverne, époux d'Esther Libermann, a quitté son pays en 1871, après la guerre, parce que l'avoué s'est retiré des affaires. M. Libmann est allé aux Etats-Unis, auprès de ses enfants...


Sources : ND 1- pp. 15
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 01-01-0
Titre : Hénoc Libermann
Clé : Henoc Ester Isaac et Sara
Destinataire : ,

5985 Hénoc, le troisième fils de Lazare, partit pour l'Amérique en 1817 ou 1818 et on n'en a jamais plus rien entendu.


Sources : ND 1- pp. 12
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 27-08-1836
Titre : Esther Libermann
Clé : Henoc Ester Isaac et Sara
Destinataire : M. Belluet,

5997 "J'ai été voir une sSur qui est mariée (et c'est ce qui m'a empêché de vous écrire plus tôt, parce que je volais d'abord savoir comment cette visite réussirait; mais elle a fort mal réussi); cette pauvre sSur est mariée à un vrai juif, qui ne rêve qu'argent et il ne voulu pas entendre parler de conversion, et pour comble de malheur, cette malheureuse sSur est attaquée d'une maladie dont elle ne relève probablement pas. Priez Dieu pour elle."


Sources : ND 1- pp. 24-25
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 28-08-1836
Titre : Une s?ur mariée à un juif
Clé : Henoc Ester Isaac et Sara
Destinataire : M. Telles,

6001 "La semaine dernière, j'ai été voir une sSur, mariée à un juif, et je n'ai pas trouvé d'espérance de conversion. Cela m'a bien fait de la peine, parce que cette pauvre malheureuse aurait pu faire une très bonne chrétienne; mais, encore une fois, la très sainte volonté de Dieu et voilà tout."


Sources : LS 1- pp. 179-180
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 27-08-1836
Titre : Sara Libermann
Clé : Henoc Ester Isaac et Sara
Destinataire : M. Belluet,

6004 Je vais voir encore une sSur et un frère. J'ai quelque espérance pour cette sSur, peut-être même pour le frère. Priez pour tout cela, afin que je ne mette pas obstacle à la grâce que Dieu voudrait faire à ces pauvres gens.


Sources : ND 1- pp. 25
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 01-01-0
Titre : Isaac Libermann
Clé : Henoc Ester Isaac et Sara
Destinataire : ,

6006 Isaac Libermann, qui est devenu rabbin à Nancy, n'a pas conservé du P. Libermann ni grande estime ni grande affection (ND 1, 12). Il est décédé le 18 septembre 1889, à Nancy, âgé de soixante quatorze ans, époux d'Esther Cahen,... fils des défunts Lazare Libermann et Véronique Weil, son épouse (ND 1, 18-19). Ses deux fils n'ont pas eu de postérité.


Sources : ND 1- pp. 15
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 10-09-1833
Titre : Libermann et sa s?ur Esther
Clé : Henoc Ester Isaac et Sara
Destinataire : Samson Libermann,

6013 Je désire beaucoup avoir une lettre d'Esther et de Libmann. Je suis fort étonné qu'ils me laissent depuis tout ce temps sans me donner aucune nouvelle.


Sources : ND 1- pp. 162
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 01-01-0
Titre : On veut en faire un saint? (avec ironie)
Clé : Henoc Ester Isaac et Sara
Destinataire : ,

6016 "... et nous a fait le plus grand mal... C'était un homme sans valeur... - ce que vous me dites me surprend. Votre frère abbé a été en relations avec bien des personnes dignes, capables, et le jugement qu'on porte sur lui est bien différent de celui que vous émettez. C'est possible, mais je sais ce que je dis. C'était un enthousiaste; il a été entraîné; à son tour, il en a entraîné d'autres... On veut en faire un saint maintenant... (avec ironie). Ce n'est pas avec des hommes comme lui qu'on fait des saints... il n'avait pas conscience; car il n'a pas rempli un engagement d'honneur qu'il avait pris vis-à-vis de son beau-frère."


Sources : ND 1- pp. 17
Réf-bible :
Remarque : Témoignage du P. Corbert.
 


  Date : 01-01-0
Titre : Le rabbin de Nancy et les deux s?urs de Libermann
Clé : Henoc Ester Isaac et Sara
Destinataire : ,

6023 "Là-dessus, il m'a raconté que notre Vénérable Père, au moment du mariage de sa sSur avec Libemann, a signé un billet de 150 francs en faveur de son beau-frère, qu'il n'a jamais acquitté. (cf. aussi ND 1, 13). Je lui ai demandé si M. Libmann était encore en possession de ce billet; il m'a répondu que ce billet avait été donné, il y a quelques mois, à quelqu'un de Paris, "de chez-vous", sans doute, me dit-il, mais depuis ce temps tout est perdu : argent et billet. Eh bien! Je dis qu'on ne peut pas regarder comme un saint celui qui n'a pas été honnête et qui m'a manqué à sa parole... "


Sources : ND 1- pp. 17-18
Réf-bible :
Remarque : D'une lettre du R.P. Corbet, le mois d'août 1878,
 


  Date : 16-09-1900
Titre : Isaac Libermann, rabbin de Nancy
Clé : Henoc Ester Isaac et Sara
Destinataire : Mère Marie-Thérèse,

6028 Vous demandez ce qui est devenu : 1° un frère du Vénérable Libermann, rabbin à Haguenau... Il n'a jamais eu la moindre relation avec sa famille catholique qu'il détestait... Il est mort rabbin à Nancy. Il a eu deux fils...


Sources : ND 1- pp. 20
Réf-bible :
Remarque : Voir tout le texte.
 


  Date : 01-01-0
Titre : De grâce, ne m'en parlez pas de celui-là
Clé : Henoc Ester Isaac et Sara
Destinataire : ,

6036 "Et j'ai connu un autre, ajoutai-je. Ah! Je sais de qui vous voulez parler : de l'abbé? - Précisément - De grâce, ne m'en parlez pas de celui-là... C'était un fils dénaturé, qui a fait mourir son père; oui, il a été cause de la mort prématuré de notre père; ne m'en parlez donc pas. C'était un mauvais coeur! - Mais, Monsieur, comment pouvez-vous qualifier ainsi un frère qui était bien dévoué aux siens, qui faisait et fait encore l'honneur de votre famille?... - Dévoué aux siens, l'honneur de la famille? ... C'était un mauvais coeur... il nous a déshonoré et nous a fait le plus grand mal... "


Sources : ND 1- pp. 16-17
Réf-bible :
Remarque : Témoignage du P. Corbert. Voir la suite.
 


  Date : 01-01-0
Titre : Sara Libermann
Clé : Henoc Ester Isaac et Sara
Destinataire : ,

6039 "Une des sSurs du Vénérable Père dit à une personne qui lui parla de son frère : "Je l'ai oublié depuis longtemps, car il était regardé comme mort bien avant de mourir. Toute la famille a porté le deuil à son sujet, quand il a changé de religion... "


Sources : ND 1- pp. 15-16
Réf-bible :
Remarque : Témoignage du P. Corbert.
 


  Date : 01-01-0
Titre : Isaac Libermann
Clé : Henoc Ester Isaac et Sara
Destinataire : ,

6047 A Nancy, le 16 août 1878, j'ai vu M. Libermann, grand rabbin, frère de notre Vénérable Père... En me présentant chez lui, je fus reçu à la porte par une jeune personne que je suppose être la fille de M. Libermann... M. Libermann n'était pas chez lui... J'allai donc à la préfecture où étaient rassemblés les membres du Conseil départemental et je me fis annoncer à M. Libermann. Il quitta la séance sur le champ... Je lui dis alors que j'avais connu quelques membres de sa famille. Lesquels, me dit-il. - Le Docteur de Strasbourg - Il ne répondit pas grand chose. - Et un autre, ajoutai-je alors...


Sources : ND 1- pp. 15-17
Réf-bible :
Remarque : Témoignage du P. Corbert. Voir la suite.
 


  Date : 01-01-0
Titre : Une autre s?ur de Libermann baptisée
Clé : Henoc Ester Isaac et Sara
Destinataire : ,

6051 Le curé de Saverne... m'a assuré que notre Vénérable Père a eu, en outre, une autre sSur qui, persécutée par les Juifs de Saverne pour son attachement à la religion catholique, est allée recevoir l'eau régénératrice du baptême à Lyon, pour monter de là au ciel sous l'égide de Notre-Dame de Fourvière.


Sources : ND 1- pp. 10
Réf-bible :
Remarque : Témoignage du P. Jean Bosch.
 


  Date : 23-09-1836
Titre : Libermann et sa s?ur Sara
Clé : Henoc Ester Isaac et Sara
Destinataire : Samson Libermann,

6053 "Très chers frère et sSur, Il est temps que je vous donne de mes nouvelles, sans cela vous croiriez que je suis mort en route. Non, rassurez-vous, le bon Dieu n'a pas encore voulu de moi : je suis arrivé ici en très bonne santé. Je me suis arrêté à Saverne dimanche et lundi. J'ai employé le moyen qui m'avait été donné pour voir Sara, et il a parfaitement réussi. Sur l'indication de M. le curé une bonne personne fit dire à la pauvre Sara qu'elle avait quelque chose à lui communiquer et que c'était pressé. La pauvre fille se douta de suite de quoi il s'agissait, à cause d'une lettre de Rabbi Isaac qu'elle avait reçue la semaine précédente. Il disait à la famille qu'il viendrait passer quelques jours chez eux et qu'il leur raconterait une chose bien triste et bien affligeante qu'il avait apprise; il aurait bien voulu, ajoutait-il, la leur dire de suite, mais il n'osait pas. Sara a deviné ce dont il pouvait s'agir, et elle s'attendait à être appelée un beau jour pour voir N ou moi. Elle ne manqua pas de venir à l'heure qu'on lui avait fixée, et je m'étais déjà rendu de mon côté à l'endroit déterminé. J'étais en soutane parce que ma malle était à la diligence, et que je n'avais pu la faire venir à cause du dimanche. En entrant, elle jeta un petit regard sur moi, et ne me reconnut pas d'abord. Il se trouvait en ce moment un étranger dans la chambre, tenant conversation avec la personne qui avait fait appeler Sara; ce qui m'embarrassa beaucoup^, parce que je craignais quelque éclat, comme cela arriva en effet. Sara se retourna donc de nouveau vers moi et me fixa pendant quelques instants. Je voulus me détourner, pour qu'elle ne pût me voir, jusqu'à ce que l'étranger fût sorti; mais c'était trop tard, elle me reconnut, se jeta sur un chaise qui était là par bonheur, et cacha sa tête entre ses deux mains. Elle fit tout cela en poussant un cri de surprise et comme d'effroi. La maîtresse de la maison, ayant vu ce mouvement, expédia bien vite l'homme qui lui parlait et nous laissa seuls. Alors Sara se jeta à mon cou en pleurant et me dit d'un ton à me percer le coeur : oh! Je suis si malheureuse! Je lui répondis que je comprenais bien ce qu'elle voulait dire, et qu'elle pouvait compter sur nous tous; que nous l'aimions tous autant que nous aimions C.; que nous étions affligés tous d'en être séparés et que nous serions toujours là pour lui prêter secours dans le besoin. La pauvre fille pleura pendant presque tout le temps que je fus avec elle. Elle me parla de N. qui la traite avec beaucoup de hauteur, et d'une manière indigne; aussi elle n'a pas pour lui l'affection qu'elle nous porte, et c'est là ce qui la rend malheureuse. Elle se trouve séparée de tous ceux qu'elle aime et elle est avec celui qu'elle n'aime point du tout, et qui la traite plus mal qu'on ne traiterait une domestique. Je lui montrai la lettre de son frère, nouveaux pleurs de sa part. Pour la détourner de ses tristes pensées, je lui adressai quelques questions risibles sur Jacob et Isaac, ce qui l'égaya un peu. En lui montrant la lettre de notre cher A., elle pleura tant, que je pus en finir la lecture le premier jour. Je profitai cependant de la circonstance pour lui parler de religion : c'était à l'occasion des injures que R. Isaac débite sur mon compte. Je lui dis que c'était un devoir pour moi de me justifier devant elle de toutes les mauvaises idées qu'elle avait pu se former sur mon changement. Elle trouvait ce changement étonnant et ne voulait d'abord pas croire qu'il fût sincère. Je lui parlai avec beaucoup de vivacité sur ce point, et nous étions si touchés que nous pleurions tous les deux comme des enfants, sans pouvoir, pendant longtemps, proféré une parole. Enfin, je pris le dessus et je la relevai de son abattement. Nous causâmes encore de religion, elle me crut sincère mais je ne pus rien gagner sur elle. Les préjugés contre notre bon Seigneur Jésus et notre bonne Mère la très Sainte Vierge sont si grands, qu'il n'y eut pas moyen de la désabuser. Jugez quelle était mon affliction, lorsque je l'entendais blasphémer ce que j'ai de plus cher dans le ciel et sur la terre. Elle voulait que je restasse encore le lendemain, parce qu'elle désirait me voir encore ce jour. Je le fis; elle vint à sept heures du matin, pendant que sa mère était à la synagogue, et resta avec moi jusqu'à dix heures. Elle revint l'après-midi à trois heures et resta jusqu'à cinq heures et demie. Le second jour, je touchai encore une fois le point capital, mais, voyant qu'il n'y avait rien à faire et que je lui faisais de la peine, je la laissai tranquille. Je lui demandai de m'écrire et de recevoir de mes lettres. Elle ne voulait pas d'abord; j'entrevis sa raison et je lui promis de ne jamais lui parler de religion dans ma correspondance; elle accepta mon offre à cette condition, et me demanda ma première lettre pour la fête des Tabernacles. Ainsi, je l'ai quittée sans avoir rien obtenu de positif; mais il y a des espérances pour l'avenir. En somme, voici ce que je pense de cette pauvre fille. Elle est très intéressante à cause du malheur qu'elle a d'être dans les ténèbres; elle a le coeur très sensible et serait capable de faire une bonne chrétienne, elle nous aime beaucoup. Elle est encore très éloignée de la religion chrétienne, mais elle donne beaucoup d'espérances pour l'avenir. Tout dépend maintenant du bon Dieu : prions et peut-être la sauvera-t-il. Si elle avait plus de communications avec les chrétiens, surtout avec de bons chrétiens, et moins avec les Juifs, ses préjugés tomberaient peu à peu. Abandonnons le tout entre les mains de Dieu. Si l'occasion s'en présentait, montrez-lui beaucoup d'affection, et rendez-lui tous les services dont vous êtes capables. Je l'ai assurée que vous l'aimiez beaucoup et que vous vous intéressiez à elle d'une manière toute particulière. Du reste, elle est passablement exaltée, elle lit beaucoup de romans. Je l'ai engagée à laisser ces mauvaises lectures; elle me l'a promis. A Dieu. Il faut que je vous laisse pour que F. et sa femme puissent écrire aussi deux mots. Aimons bien Jésus et Marie et prions toujours les uns pour les autres, n'est-ce pas, ma chère belle-sSur? Vous le désirez vous aussi; je vous promets de mon côté de ne pas vous oublier. Votre tout dévoué frère en Jésus et Marie."


Sources : LS 1- pp. 196-201
Réf-bible :
Remarque : Cf. aussi p. 180.
 


  Date : 13-09-1836
Titre : Le moyen pour voir Sara
Clé : Henoc Ester Isaac et Sara
Destinataire : Samson Libermann,

6054 J'ai employé le moyen que Christophe me donna pour voir Sara... (Ainsi je l'ai quittée sans avoir rien obtenu de positif, mais il y a des espérances pour l'avenir). Je lui ai demandé plusieurs fois de ne pas se marier si tôt, ou au moins de ne pas se marier à un (illisible) afin de ne pas devenir une (illisible). En somme voici... elle me l'avait promis.


Sources : ND 1- pp. 167
Réf-bible :
Remarque : Voir la suite.
 


  Date : 13-09-1836
Titre : Une singulière aventure
Clé : Henoc Ester Isaac et Sara
Destinataire : Samson Libermann,

6056 "Elle (Sara) me raconta une singulière aventure dont il faut que je vous parle. Il faut savoir d'abord que sa mère loge des étrangers, et dans le temps elle avait des soldats dans la chambre d'études. Un soir arriva un jeune homme un peu plus grand que moi; il était maigre, bien fait, les cheveux presque blonds, les yeux bleus. De suite en arrivant, il dit (illisible). On lui répondit que oui; il s'assit sur le canapé, il avait l'air rêveur; il adressa cent mille questions à Sara; tout cela sur notre famille... "


Sources : ND 1- pp. 167-168
Réf-bible :
Remarque : Voir la suite, intéressante.
 




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