ETUDES sur LIBERMANN
(P. Martins)


  Date : 30-12-1841
Titre : Je désire que vous brûliez cette lettre
Clé : Lettres de Libermann
Destinataire : M. Dupont,

10238 "M. Le V... (1) se soutient parfaitement. J'espère que la Très Sainte Vierge achèvera ce qu'elle a si bien commencé. J'aurais bien des choses à vous dire sur la manière de converser de Dieu dans les bandes, car je voudrais que nous adorons en ce temps et qu'il fût plus maître de votre esprit et de votre langue que vous-même. Nous en parlerons une autre fois. Je désire que vous brûliez cette lettre, car elle serait obscure pour quiconque n'approuverait pas l'état intérieur où vous êtes et peut-être pour vous-même. Je ne puis vous envoyer maintenant encore les cahiers de M. Senez; ce sera la semaine prochaine. Je répondrai par cette occasion au bon M. Bouchet pour épargner un port de lettre. (1) Il s'agit vraisemblablement de M. Le Vavasseur, dont M. Dupont aurait demandé des nouvelles."


Sources : ND 3- pp. 86
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 27-07-1838
Titre : Ce sera pour moi une consolation de vous répondre
Clé : Lettres de Libermann
Destinataire : M. Carron,

10239 "Ecrivez-moi tant que le bon Dieu vous inspirera de le faire; ce sera une grande consolation pour moi de vous répondre... "


Sources : ND 1- pp. 509-510
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 27-05-1837
Titre : Je m'imagine que j'écris à Notre-Seigneur
Clé : Lettres de Libermann
Destinataire : M. Louis,

10240 "Pardonnez-moi, mon très cher et très honoré Supérieur, si je vous parle avec tant de liberté : je ne connais pas assez la langue pour m'exprimer en termes plus respectueux, comme je le devrais. Je m'imagine que j'écris à Notre-Seigneur Jésus-Christ lui-même, qui me permet et me pardonne tant de choses, que j'ose tout dire avec lui; j'espère que vous me pardonnerez aussi, me tenant sa place sur la terre; c'est en cette qualité que je vous prie de recevoir, mon très cher et très honoré Père, toute la tendresse et le profond respect de votre très indigne enfant."


Sources : LS 1- pp. 262
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 11-02-1838
Titre : Le plaisir de répondre à vos lettres
Clé : Lettres de Libermann
Destinataire : M. de Conny,

10253 "... Si vous jugez à propos de prendre les choses sérieusement, écrivez-moi, je vous prie; la chose en vaut la peine. Dans tous les cas, mon très cher, vous savez quel plaisir c'est pour moi de recevoir de vos lettres et de vous y répondre... "


Sources : LS 1; ND 1- pp. 421-422.
Réf-bible :
Remarque : Voir la suite.
 


  Date : 28-01-1842
Titre : Lithographier mes lettres
Clé : Lettres de Libermann
Destinataire : M. Dupont,

10254 "Je prie Notre-Seigneur d'être toutes choses en vous. Je vais vous causer du chagrin dans cette lettre, mais Notre-Seigneur vous fortifiera. J'ai reçu de Paris des nouvelles terribles, où votre prudence n'est pas fort louée. Ne vous en tourmentez pas, mon très cher; mettez-vous entre les mains de Jésus et de Marie et ne vous inquiétez pas de ce que les hommes pensent de vous. On se plaint que vous travaillez trop à attirer du monde, que vous faites lithographier mes lettres, copier mes cahiers sur saint Jean, et que vous les montrez à tout le monde; tous crimes capitaux qui vont vous faire pendre. Pourvu que le bon Dieu n'ordonne pas votre exécution et que la Sainte Vierge ne vous mette pas la corde au cou, vous n'êtes pas perdu encore. Prenez donc bon courage et ne vous affligez pas de ce que toutes les créatures peuvent avoir contre vous, et même de tout ce que les saints peuvent dire et juger de vous, ni même de ce qu'ils peuvent faire. Vous ne souffrirez pas seul, j'aurai une bonne part dans vos souffrances, et peut-être la crème sera pour moi : car tout tombe sur moi d'abord. Réjouissez-vous seul avec Notre-Seigneur de la peine que vous éprouverez, par suite de tout ce qui peut se dire et se penser de vous; vous devez être content d'avoir quelque peine à souffrir de vos fautes... Je vous prie très instamment, mon très cher, de ne plus montrer ni faire copier mes lettres : vous voyez que cela scandalise; celle qui traite des règles, surtout, ne doit être montrée qu'à ceux qui sont des nôtres. Pour les cahiers sur saint Jean, ne le montrez pas davantage et ne les faites pas copier, comme je vous en ai déjà prié dernièrement. Pour la lithographie, jugez s'il y faut encore penser! Mais je suis sûr que vous n'y pensiez plus, puisque je vous ai priée, dans ma dernière lettre, de ne pas le faire."


Sources : ND 3- pp. 122-123
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 14-04-1858
Titre : Les lettres de Libermann
Clé : Lettres de Libermann
Destinataire : ,

10256 "Daignez excuser le retard que j'ai mis à répondre à votre honorable lettre. Le nom du bien-aimé P. Libermann devait m'inspirer plus de promptitude, mais j'étais accablé par les prédications et les confessions du jubilé. D'ailleurs, je devais attendre le résultat des investigations que j'avais imposées à ma mère, résidant à Paris, relativement aux lettres de notre bien-aimé P. Libermann. Les recherches de ma mère, à ma grande douleur, ont été jusqu'à présent inutiles. J'avais, avant de quitter Paris, attaché et enveloppé vingt-cinq lettres du Vénérable P. Libermann à moi adressées et les avais laissées, pour les redemander plus tard, parmi d'autres papiers. Je ne les oubliais pas, ces bonnes lettres; j'espérais en faire le soutien de ma foi, après que plusieurs années de vie religieuse m'auraient replacé dans cette faim et cette soif de la vie de Jésus, que ces saintes lettres avaient nourries durant cinq ans dans mon âme. Le bon Dieu ne m'a pas jugé digne de cette consolation. Un domestique infidèle, qui a séjourné quelque temps chez ma mère, aurait, à ce que ma mère suppose, fait disparaître ces papiers avec plusieurs autres, dont je regrette aussi, quoique beaucoup moins la perte. Veuillez agréer... et redire mon nom sur la tombe de ce bien-aimé Père, à qui j'ai dû coûter en secret plusieurs larmes et aux prières ignorées duquel je suis peut-être redevable de ma vocation religieuse. Permettez-moi, sous un habit différent du vôtre, mais à titre de la filiation spirituelle qui nous a faits les enfants d'un même père, de me dire, dans le saint Coeur de Marie, votre dévoué et affectionné frère."


Sources : ND 2- pp. 110
Réf-bible :
Remarque : Témoignage du F. Denis, prêtre capucin.
 


  Date : 29-04-1858
Titre : Les lettres de Libermann
Clé : Lettres de Libermann
Destinataire : ,

10257 "Mon Révérend Père, Je suis heureux que vous ayez daigné agréer les sentiments d'attachement que je ne puis manquer de porter à cette honorable Congrégation ayant eu le bonheur d'en faire partie; car j'étais présent avec les PP. Le Vavasseur, Tisserant, Collin et autres à cette messe mémorable du bien-aimé P. Libermann à l'autel de Notre-Dame des Victoires pour instituer définitivement la Congrégation et la donner au Coeur de Marie, etc. N.B. Sur les indications fournies dans cette dernière lettre, le R. Delaplace fit d'actives recherches pour retrouver les vingt cinq pièces de la correspondance du Vénérable Père dont il est parlé plus haut : ce fut en vain. Nous avons pourtant deux lettres à M. Bureau d'après une copie de la main de M. Dupont."


Sources : ND 2- pp. 110
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 08-04-1851
Titre : Le style littéraire de Libermann
Clé : Lettres de Libermann
Destinataire : Le Vavasseur,

10258 "J'ai eu l'honneur de vous proposer dans ma dernière lettre quatre prêtres pour Cayenne. Veuillez agréer l'hommage du profond respect avec lequel, Monsieur le Ministre, j'ai l'honneur d'être votre très humble et très obéissant serviteur. Copiez cette lettre à peu près telle qu'elle est, en corrigeant modérément; mettez-la sous enveloppe sur laquelle seulement vous mettrez l'adresse de M. le Directeur des Cultes place Vendôme, et vous la mettrez à la poste tout de suite."


Sources : ND 13- pp. 91
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 29-03-1845
Titre : Mes lettres? c'est moi qui les ouvre toutes
Clé : Lettres de Libermann
Destinataire : Mlle Guillarme,

10259 "... de m'entretenir sur votre conscience... Personne n'ouvre et ne voit mes lettres, surtout les lettres de direction; car pour les lettres d'affaires, je les communique parfois, mais toujours c'est moi-même qui les ouvre toutes."


Sources : ND 7- pp. 103
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 10-03-1844
Titre : Vous oubliez de dater vos lettres
Clé : Lettres de Libermann
Destinataire : Le Vavasseur,

10260 Je ne sais si je vous ai dit plus haut déjà que vous oubliez toujours de dater vos lettres. Cela nous serait bien utile et souvent important.


Sources : ND 6- pp. 117
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 02-07-1845
Titre : Puisque vous désirez tant m'écrire
Clé : Lettres de Libermann
Destinataire : Mlle Barbier,

10261 "Puisque vous désirez tant m'écrire, écrivez-moi, mais en public, par la poste; je vous répondrai par la poste. N'écrivez pas trop souvent pour ne pas effaroucher vos parents... "


Sources : ND 7- pp. 239
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 02-01-1845
Titre : Il m'a coûté de vous laisser sans réponse
Clé : Lettres de Libermann
Destinataire : M. Beauchef,

10262 Je ne vous réponds pas à ce que vous me dites des peines que vous causent vos parents... Que le retard que j'ai mis à vous répondre ne vous empêche pas de m'écrire une autre fois... Vous voyez... il m'a coûté de vous laisser sans réponse...


Sources : ND 7- pp. 9
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 26-04-1851
Titre : Une très longue lettre
Clé : Lettres de Libermann
Destinataire : Mgr Kobès,

10263 "Le F. Louis n'est pas encore arrivé. Il serait possible qu'il ait abordé en France et que n'osant se présenter, il soit resté dans quelque autre communauté; autrement, je ne peux expliquer pourquoi il n'est pas arrivé. Quand il arrivera je m'en tirerai avec lui le mieux que je pourrai. Je ne le renverrai pas au Gard, je le garderai à Paris. Je termine tristement. N'ayant pu supprimer la maison de Bordeaux, je ne sais qui vous envoyer. Les premiers novices qui auront fini seront pour vous. Le frère de M. Le Berre a donné des honoraires de messes pour acheter une croix à l'église de Sainte Marie : 21 de ces messes sont pro defuncto; 10 autres pour un défunt; enfin 4 pour la conversion des pécheurs. Ces quatre dernières sont pour un envoi d'effets qu'il vous a fait. Vous aurez donc en totalité 35 messes à acquitter pour ces objets. Votre tout dévoué et très affectionné serviteur. J'ai terminé cette lettre le 8 mai et j'y ai employé toutes mes matinées depuis le 26. Je vais maintenant écrire à plusieurs de nos confrères, etc., compris M. Boulanger."


Sources : ND 13- pp. 119
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 13-10-1847
Titre : Ecrivez-moi quand vous aurez besoin
Clé : Lettres de Libermann
Destinataire : M. Dat,

10264 "Ne craignez pas de me déranger, écrivez-moi quand vous aurez besoin; vous voyez que je vous réponds quand je peux. Cependant, soyez sûr que je ne ferai plus comme cette fois-ci."


Sources : ND 9- pp. 282
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 02-04-1849
Titre : Combien il m'est difficile d'écrire des lettres!
Clé : Lettres de Libermann
Destinataire : Julie Libermann,

10269 "Ma pauvre bonne sSur, Vous croyez sans doute que je vous en veux parce que je ne vous écris pas, mais si vous saviez combien il m'est difficile d'écrire des lettres, vous ne m'en voudriez certainement pas. Je suis brouillé avec bien des personnes à cause de cela. Mon frère de Strasbourg attend de moi une lettre depuis plus de trois mois; sa bonne enfant, Marie, de même. Nos bonnes SSurs d'Amiens attendent de mes nouvelles depuis le mois d'octobre. Ainsi vous voyez, je ne suis pas brouillé avec vous seulement."


Sources : ND 11- pp. 101
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 07-03-1877
Titre : J'étais même son ami
Clé : Lettres de Libermann
Destinataire : M. Viot,

10270 "Monsieur l'abbé, je viens de lire dans l'Univers la lettre pastorale de Son Eminence Mgr l'Archevêque de Paris, laquelle ordonne à tous ceux qui possèdent des écrits émanés de la main des trois serviteurs de Dieu dont la cause peut être introduite, de les lui faire connaître et de les lui remettre. J'ai connu assez intimement à Saint-Sulpice, pendant plusieurs années, le Vénérable François Libermann; j'étais même son ami. Il m'a écrit depuis six ou sept lettres, qui m'ont été demandées, il y a quelques années, par un des directeurs du Séminaire du Saint-Esprit, à l'époque où l'on écrivait sa vie pour la seconde fois. Je les ai envoyées et on me les a rendues deux mois après. On a reproduit trois de ces lettres dans les Lettres Spirituelles du Vénérable François Libermann. Si pourtant on croyait avoir encore besoin de ces lettres, je me ferais un plaisir et même un devoir de vous les adresser, avec prière de me les renvoyer; j'y tiens beaucoup pour plusieurs raisons, et en particulier parce qu'elles pourraient plus tard devenir de précieuses reliques. Dans ce six ou sept lettres, il y en a une que je prie Son Eminence de me permettre de ne pas envoyer, parce qu'elle contient des détails très intimes sur ma conduite et une réponse à une confidence que je lui avais faite (du for intérieur)."


Sources : ND 1- pp. 131
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 01-01-0
Titre : La correspondance du Vénérable Père
Clé : Lettres de Libermann
Destinataire : ,

10271 "... l'appréciation faite par le Cardinal Donnet de la correspondance du Vénérable Père; on la trouvera dans la Préface des Lettres Spirituelles, deuxième édition."


Sources : App. au T. 13- pp. 26
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 24-06-1851
Titre : Rien ne me fatigue tant
Clé : Lettres de Libermann
Destinataire : Mgr Lacarrière,

10272 Je viens de relire ma lettre et j'en ai honte. Rien ne me fatigue comme une lettre que j'écris moi-même, et, par suite, je n'ai pas la force de les soigner. Vous me pardonnerez, Monseigneur, et me permettrez de les dicter désormais, excepté cependant les sujets confidentiels. Veuillez me donner aussi, Monseigneur, une réponse au sujet de M. Amable.


Sources : ND 13- pp. 205
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 01-01-1849
Titre : Le double des lettres de Libermann
Clé : Lettres de Libermann
Destinataire : Mgr Kobès,

10273 "Monseigneur, 1° Je vous envoie l'histoire de Rorhbacher, un exemplaire de la théologie dogmatique de M. Gousset, trois de la morale, du papier ministre, le témoignage de la Consécration de Mgr Bessieux. 2° Quant à la Somme de saint Thomas, M. Briot compte vous l'envoyer par la prochaine occasion; il avait écrit dans son pays où il en a une, pour la faire tenir prête; mais on ne l'a pas encore envoyée. 3° M. François a été fort occupé ces derniers temps, ce qui l'a empêché de copier les lettres de M. le Supérieur; il vous les enverra prochainement. 4° Quant aux 230 francs de messes, M. Briot vous doit en écrire avec son style d'économe."


Sources : Compl.- pp. 124
Réf-bible :
Remarque : de la part de M. Lanurien
 


  Date : 07-05-1870
Titre : Les lettres de Libermann
Clé : Lettres de Libermann
Destinataire : A. Beluet, Archiprêtre de Jonzac

10274 "Monsieur l'Abbé, je m'étais bien trompé en pensant que les lettres de M. Libermann se trouvaient mêlées avec toutes celles qui sont indifférentes. Je me rappelais bien en avoir mis à part; mais trois déménagements successifs avaient mis un grand désordre dans mes affaires. Je les ai, Dieu merci, retrouvées; et, sans les travaux de ce temps qui ne nous laissent aucun répit, je n'aurais pas attendu que vous me les demandassiez de nouveau pour vous les adresser. Les voici donc. Nul ne comprendra mieux que vous, Monsieur l'Abbé, que je ne vous les confie que comme un dépôt sacré, dont je revendique la propriété. Je les ai pieusement gardées, je les ai lues souvent comme méditation et lecture spirituelle; elles m'ont toujours fait du bien et fait respirer le souffle puissant de sainteté qui animait notre saint confrère et qu'il savait bien communiquer à tout ce qui l'approchait. C'est vous dire à quel intérêt je lirai la vie que vous publiez, aussitôt qu'elle aura paru. P.S. Je ne vois guère à supprimer dans les lettres que le nom de M. l'abbé de Bouchaud, aujourd'hui, s'il n'est pas mort, membre distingué de la Compagnie de Jésus."


Sources : ND 1- pp. 318-319
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 30-10-1831
Titre : Libermann et le style des lettres
Clé : Lettres de Libermann
Destinataire : M. de Farcy,

10279 "J'aurais encore un avis à vous donner, que j'allais oublier. Dans vos lettres, vous êtes trop long. Je ne veux pas dire que vos lettres sont trop longues; mais dans vos phrases, il y a quelque chose de traînant et de long : vous craignez toujours de vous mal expliquer ou de laisser quelque obscurité et ambiguïté, et c'est pourquoi vous faites beaucoup de répétitions; ce qu'il faut tâcher d'éviter. J'ai remarqué que lorsque vous parlez de Dieu vous ne faites pas cela, mais seulement quand vous parlez des choses de la terre. Si je pouvais vous envoyer une copie de votre lettre, je vous montrerais qu'on aurait pu la réduire de moitié."


Sources : LS 1- pp. 27-28
Réf-bible :
Remarque :
 




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