ETUDES sur LIBERMANN
(P. Martins)


  Date : 31-12-1842
Titre : La mère du P. Blanpin
Clé : Libermann et la mère du P. Blanpin
Destinataire : , Cardinal de la Tour d'Auvergne

6301 "Ma mère me dit, dans sa dernière lettre, qu'elle n'osait plus sortir, parce qu'on la tracasse sans cesse à mon sujet. Ayant une conscience timorée, ces poursuites la jettent dans des inquiétudes et dans une grande perplexité; je suis sûr qu'une fois la chose faite, on la laissera tranquille et elle le sera parfaitement. Cette séparation lui coûterait aussi bien qu'à moi; elle en fera le sacrifice à Dieu et se sanctifiera par ce moyen."


Sources : ND 3- pp. 342-343
Réf-bible :
Remarque : de la part du P. Blanpin.
 


  Date : 31-12-1843
Titre : Libermann et la mère du P. Blanpin
Clé : Libermann et la mère du P. Blanpin
Destinataire : Mme Blanpin,

8906 Je sens bien vivement... la perte que votre coeur faisait dans l'absence de votre cher enfant, et le grand sacrifice que vous offriez à Dieu. J'ai toujours compris que la plus grande privation que vous éprouveriez serait dans la cessation des fréquents épanchements de coeur de cette bonne âme avec la vôtre pour vous exciter à bien faire, et des conseils de perfection qu'il vous donnait. C'est pour cela que je vous ai offert plus d'une fois de le remplacer auprès de vous, autant qu'il sera en moi. Ces offres étaient bien pures dans l'intention et bien sincères. Votre fils m'en a prié bien des fois, et je lui ai promis de tout mon coeur...


Sources : ND 4- pp. 472
Réf-bible :
Remarque : Voir la suite.
 


  Date : 31-12-1843
Titre : Une retraite de Mme Blanpin à La Neuville
Clé : Libermann et la mère du P. Blanpin
Destinataire : Mme Blanpin,

9114 "Vous pourriez faire une petite retraite de quelques jours, mais ce serait une retraite peu sérieuse, parce que vous avez sans doute la tête un peu fatiguée par toutes vos peines; mais n'importe, elle pourrait servir pour vous remettre dans le calme. Je ne pourrai pas vous donner tout le temps que je voudrais, mais toujours pourrais-je m'occuper de vous une heure par jour au moins. Si vous n'aimez pas à faire un nouveau voyage, calmez-vous toujours et rassurez-vous toujours sur votre état; encore une fois, je vous garantis que Notre-Seigneur est avec vous... "


Sources : ND 4- pp. 474-475
Réf-bible :
Remarque : Voir la suite. Cf. aussi ND 6, 320-321.
 


  Date : 31-12-1843
Titre : Libermann et Mme Blanpin
Clé : Libermann et la mère du P. Blanpin
Destinataire : ,

9115 "Si cela vous est agréable, venez passer quelques jours ici. Je ne puis vous donner une chambre dans notre maison même; je n'ai qu'une chambre pauvre et un peu sale à vous offrir, dans la maison de notre jardinier."


Sources : ND 4- pp. 475
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 10-03-1844
Titre : Plusieurs l'ont montée contre moi
Clé : Libermann et la mère du P. Blanpin
Destinataire : P. Le Vavasseur,

9120 "M. Blanpin s'est laissé trop vite affecter par les lettres de sa mère. C'est une bonne femme très pieuse et bonne, qui a l'esprit faible. Plusieurs l'ont montée contre moi. J'avais fait l'impossible pour la gagner, dans le seul but de la consoler de l'absence de son fils et pour lui faire du bien; je n'ai rien pu faire; cela allait de mal en pis. Elle s'éloignait toujours davantage. Enfin le bon Dieu a exaucé les prières du bon P. Blanpin; les choses sont en très bon état... Je crains que la bonne Madame Blanpin ne tombe bientôt en enfance : sa tête faiblit beaucoup."


Sources : ND 6- pp. 116
Réf-bible :
Remarque : Cf. aussi pp. 320-321, 415-416.
 


  Date : 09-11-1844
Titre : M. le curé craint qu'elle ne lui échappe
Clé : Libermann et la mère du P. Blanpin
Destinataire : P. Blanpin,

9121 Quant à votre bonne maman, c'est une sainte femme qui est bien au bon Dieu, de toute son âme. Malheureusement M. le Curé craint qu'elle ne lui échappe, il ne veut pas lui permettre de venir me voir toute seule, ni qu'elle reste auprès de moi quelques jours... Il la laissa cependant une fois ici deux jours, et cela fit un bien sensible à cette sainte femme. Elle est entièrement détachée du monde et ne pense plus à la gestion du bien... Elle est très bien disposée. Si elle était retirée du monde, elle serait bien plus tranquille. On la tracasse beaucoup à cause du bien et de ses parents à qui on voudrait qu'elle fit des legs...


Sources : ND 6- pp. 415-416
Réf-bible :
Remarque : cf. ND 7, 40, ND 7, 151.
 


  Date : 07-03-1843
Titre : Libermann et la mère du P. Blanpin
Clé : Libermann et la mère du P. Blanpin
Destinataire : Mme Blanpin,

9125 "Je prie Notre-Seigneur de recevoir avec bonté le sacrifice que vous lui offrez dans la personne de votre cher fils et de vous le rendre profitable pour sa gloire et votre sanctification. Je m'offre encore une fois et m'offrirai sans cesse à vous donner tous les secours et toutes les consolations dont je serai capable; je vous prie d'en user selon que Notre-Seigneur vous l'inspirera... "


Sources : ND 4- pp. 133-134
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 08-03-1844
Titre : Libermann et la mère du P. Blanpin
Clé : Libermann et la mère du P. Blanpin
Destinataire : P. Blanpin,

9126 "Il faut commencer par vous parler d'affaires temporelles. Ne soyez pas inquiet de votre chère mère. Tout va à merveille. Cette pauvre maman m'a causé bien des chagrins et de la peine. Je suis allé la voir deux fois. J'ai usé de toute l'adresse possible pour gagner sa confiance et tout cela inutilement. Je ne savais plus comment m'y prendre... Le bon Dieu exauça sans doute vos prières : votre mère venait de faire plusieurs voyages qui, je pense, ont contribué à la mettre dans le trouble et l'inquiétude... Elle était bien en peine, lorsque je reçus une lettre de M. Le Vavasseur qui annonça votre arrivée... J'ai envoyé aussitôt une copie à votre bonne mère, c'était de l'huile sur une lampe à moitié éteinte... J'ai reçu ces jours derniers une lettre de M. Le Vavasseur; je vais en envoyer une copie à votre bonne mère; j'y ajouterai un mot de piété. Elle ne peut plus écrire beaucoup; cela la fatigue et elle a de la peine à ramasser ses idées. Je l'ai invitée fortement à venir passer quelques jours avec nous. Je lui ferai arranger une petite chambre dans la maison du jardinier, je lui causerai toujours un peu et j'espère que peu à peu la divine Bonté la consolera et la soulagera dans ses peines d'esprit. Dans ma prochaine lettre, je lui en parlerai de nouveau. Je lui promis aussi de venir tous les ans, deux ou trois jours. Vous voyez bien, mon très cher frère, que vous vous êtes laissé trompé en me soupçonnant que je négligeais votre pauvre mère, car tout ce que je viens de vous dire s'est passé avant la réception de votre lettre, même l'invitation que j'avais faite à votre mère de venir passer quelques jours avec moi. Ce n'est que le voyage que j'ai accéléré de deux, peut-être de huit jours, à cause de ce que vous m'appreniez dans votre lettre. Vous n'avez pas fait injure au bon Dieu en croyant trop facilement ces choses, mais vous avez fait injure à ce pauvre homme, qui le mérite bien et qui ne saura jamais se fâcher contre son enfant bien-aimé, parce que son coeur lui est trop attaché en la charité de Jésus et de Marie. Dans votre prochaine lettre à votre mère, dites-lui les grands désirs que j'ai d'être utile à son âme et que je ferai toujours tout ce qui est en moi pour cela. Engagez-la à venir me voir et à passer tous les ans quelques jours ici. Qu'elle y vienne même plusieurs fois par an ou qu'elle reste aussi longtemps qu'elle voudra, cela ne vous gênerait en rien et me ferait le plus grand plaisir. Si nous pouvons obtenir cela, d'abord nous lui ferions un grand bien et ensuite, peu à peu, elle s'habituera ici, et quand le moment sera arrivé, nous n'aurions pas tant de peine à la fixer dans quelque couvent d'Amiens. L'affaire du partage dont je vous parle plus haut s'est passée ainsi : lorsque votre bonne mère était dans son plus mauvais temps, dans sa plus mauvaise humeur envers moi, elle fit la proposition de partager les biens, afin qu'elle eût ce qui lui appartient, disant qu'elle était malheureuse, n'ayant pas même de pouvoir sur son bien, que la majeure partie du bien lui appartenait. Ceci arriva dans mon avant-dernier voyage. Elle me reçut alors assez mal et me fit le reproche que je ne faisais guère attention à elle et que je n'avais pas même daigné dire des compliments pour elle dans une lettre que j'avais écrite à M. Cappes (vous savez que je suis fort oublieux pour ces niaiseries; depuis, je fus sur mes gardes et je n'y manquai plus). Elle me fit ce reproche à table, devant M. le Curé, le Juge de paix, M. Borgnier et d'autres personnes invitées. Je m'en tirai le mieux que je pus; mais cela me montra qu'elle était tout à fait contre moi. Le lendemain, elle fit la proposition du partage et il n'était guère possible de s'y refuser. J'y acquiesçai donc de suite, de peur de l'irriter davantage. Je présumai votre consentement, vu les circonstances et le bien spirituel de votre mère. Nous allâmes chez M. Cappes et nous passâmes en revue tous les biens, et ce fut votre mère qui les classa, c'est-à-dire qui dit : Tel bien était à votre père avant le mariage, tel bien provenait de ses bien patrimoniaux, tel autre était à la communauté. Tout ce qu'elle dit fut de suite accordé et mis en note pour servir de base au partage. Elle devait être bien contente de moi; il n'en fut cependant pas ainsi : nous nous quittâmes plus mal à l'aise que jamais. Ce ne fut ni de ma faute, ni de la sienne; elle était alors dans une grande agitation, des gens mal intentionnés la poussaient sous-main."


Sources : ND 6- pp. 105-108
Réf-bible :
Remarque : cf. p. 116.
 


  Date : 31-12-1843
Titre : La mère du P. Blanpin
Clé : Libermann et la mère du P. Blanpin
Destinataire : Mme Blanpin,

9127 Madame, Je conçois parfaitement vos peines de ce que vous n'avez pas encore reçu de nouvelles de la main de votre cher fils. Je suis dans le même cas. Il est bien certain que, lui et son compagnon, ont écrit. Il est certain aussi que M. Blanpin se porte très bien. On me dit qu'il était très fort en bonne santé. Cette nouvelle est d'autant plus satisfaisante qu'elle a été écrite un mois après l'arrivée de l'abbé Blanpin, et, par conséquent, après un temps suffisant pour se remettre des fatigues du voyage qui, désormais, ne pouvait plus avoir de l'influence pour altérer sa santé.


Sources : ND 4- pp. 471-472
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 01-09-1843
Titre : Libermann et la mère du P. Blanpin
Clé : Libermann et la mère du P. Blanpin
Destinataire : Libermann,

9128 "Très cher Père, le bon M. Blanpin vient de recevoir de sa mère une lettre qui le désole. Cette pauvre mère se plaint que vous la mettez de côté, que vous vous entendez avec son homme d'affaires pour traiter sans elle les choses qui regardent ses biens et ceux de son fils; elle paraît très affectée de ce que vous ne faites pas attention à elle et ne lui témoignez aucun égard. Je pense que ce sont des susceptibilités de femme, mais que vous jugerez important de calmer. Vous pensez quel parti ceux qui vous voient d'un mauvais Sil, pourraient en tirer. Si elle se mettait de leur nombre, ce serait un vrai malheur. M. Blanpin est affligé de ce que vous ne paraissez pas porter plus d'intérêt à sa mère. Il espérait, me disait-il, que vous le remplaceriez auprès d'elle et que vous auriez fait plus d'efforts pour gagner toute sa confiance. Je l'ai consolé sur tout cela et l'ai engagé à vous en écrire de suite, ainsi qu'à sa mère."


Sources : ND 6- pp. 574-575
Réf-bible :
Remarque : de la part de Le Vavasseur.
 


  Date : 28-11-1846
Titre : Libermann et les parents des missionnaires
Clé : Libermann et la mère du P. Blanpin
Destinataire : P. Blanpin,

9136 "Avant la réception de votre lettre et de celle de votre mère, ma pensée était que vous restiez à Rome, jusque vers le milieu ou la fin de janvier, afin d'y passer l'hiver, mais la lettre de votre mère m'a fait craindre que votre absence ne lui nuise. Vous présent, nous serions plus forts et nous l'arracherons peut-être à ses maux. D'un autre côté, je crains que même votre présence ne soit pas capable de terminer sitôt cette affaire, et alors vous seriez peiné d'être venu sans avoir pu réussir. Cependant, la chose bien examinée devant Dieu, il me semble que dans le doute, le bien spirituel et corporel de votre mère doit l'emporter sur toute considération. Peut-être entre-t-il dans l'ordre de la divine volonté que vous exerciez votre voix dans ce pays-ci pour le salut des âmes; puis, d'une manière si imprévue, votre mère a si grand besoin de vous ici! Je suis timide à décider. Consultez la Mère Makrina; la vénérable servante de Dieu ayant eu grâce pour vous obtenir la guérison, en aura aussi pour connaître la volonté de Dieu sur ce point."


Sources : ND 8- pp. 362
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 01-04-1845
Titre : Libermann et Mme Blanpin
Clé : Libermann et la mère du P. Blanpin
Destinataire : P. Blanpin,

9137 Le partage est fait et signé par moi, mais votre mère ne l'a pas encore signé, et probablement elle ne le signera jamais. Je pense que ma manière d'agir avec elle dans cette circonstance a contribué à détruire les préjugés qu'on voulait lui insinuer contre moi. Elle a vu que je vais largement et n'attache pas d'importance à affaire d'argent et que je ne cherche guère à accaparer votre fortune...


Sources : ND 7- pp. 146
Réf-bible :
Remarque : Voir la suite.
 


  Date : 26-01-1845
Titre : Mme Blanpin quelques jours à la Neuville
Clé : Libermann et la mère du P. Blanpin
Destinataire : P. Le Vavasseur,

9138 "La mère de M. Blanpin vient de passer quelques jours avec nous; elle vous remercie du soin que vous prenez de son fils. Rappelez de temps en temps à M. Blanpin d'écrire tous les mois à sa mère."


Sources : ND 7- pp. 31
Réf-bible :
Remarque : Cf. ND 4, 431; ND 7, 40, 144-145; ND 8, 165, 646, 362; ND 9, 297; ND 10, 61-62; ND 12, 119-120; ND 13, 38.
 


  Date : 21-09-1851
Titre : La mère du P. Blanpin
Clé : Libermann et la mère du P. Blanpin
Destinataire : P. Blanpin,

9139 Je comprends vos inquiétudes d'après les dernières nouvelles que vous avez reçues au sujet de votre bonne et excellente mère. Rassurez-vous, c'était une fausse alarme qu'on nous a donnée. Je pense que cela est venu de ce qu'ayant retiré la gestion de ses biens à M. Cappes, il est tout naturel qu'à Aire on ait glosé là-dessus. Je m'en défiais un peu et voilà pourquoi ma lettre était plus modérée que celle de M. Le Vavasseur, qui ne connaît pas aussi bien que moi l'état des choses, ni le pays. Mais aussi je suis assez heureux de pouvoir vous dire que tout va bien. Votre chère maman est venue me voir peu de jours avant les vacances, bien entendu avec M. le Curé, mais je l'ai vue seule trois ou quarte fois et j'ai causé avec elle. Eh bien! Je puis vous dire qu'elle est parfaitement en paix. Elle est contente de son nouveau gérant, elle est contente de M. le Curé et même ses scrupules ont diminué de beaucoup et ne font que reparaître de temps à autre, mais assez faiblement. Elle obéit à M. le Curé comme une petite enfant. Je me garde bien de la dissuader de cela, car ce serait la jeter dans un abîme de troubles. Elle est contente d'obéir ainsi, que voulez-vous de plus? Et d'ailleurs cette obéissance est pour elle une garantie contre les scrupules, je laisse donc faire.


Sources : ND 13- pp. 297
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 11-03-1850
Titre : La mère du P. Blanpin
Clé : Libermann et la mère du P. Blanpin
Destinataire : P. Blanpin,

9140 "Je ne vous donne pas de nos nouvelles : M. Le Vavasseur se charge de vous les donner à tous. Il me suffit de vous dire que tout va bien. Il y a bien longtemps que je n'ai vu votre bonne mère, qui du reste va très bien. Elle m'a écrit vers la fin de l'été dernier qu'elle voulait venir me trouver; mais comme je voyais dans sa lettre qu'elle craignait le choléra, je n'ai pas voulu faire instance pour l'engager à venir. Dans cette lettre elle me dit qu'elle voudrait venir me voir avec M. le Curé, mais qu'elle me priait de lui dire si le choléra était passé. Je n'ai pas réfléchi davantage et j'ai cru qu'elle avait peur de l'épidémie : je lui ai donc répondu que je lui ferais savoir aussitôt que la maladie n'existerait plus. J'ai réfléchi depuis et je fus étonné qu'elle eut peur, elle qui visite les malades avec tant de plaisir; mais je pense que ce fut M. le Curé qui, sans précisément avoir peur, ne se souciait pas de venir pendant le règne de l'épidémie. Aussitôt que le choléra a cessé, j'écrivis; mais il était trop tard, le temps s'était rafraîchi et elle me répondit qu'elle viendra au printemps. Je m'attends à la voir après Pâques."


Sources : ND 12- pp. 119
Réf-bible :
Remarque : Cf. aussi ND 13, 38.
 


  Date : 01-04-1845
Titre : Libermann et la mère du P. Blanpin
Clé : Libermann et la mère du P. Blanpin
Destinataire : P. Blanpin,

9141 Pour mes lettres, c'est votre bonne mère qui m'a dit qu'on les interceptait, au moins qu'on les lisait avant elle...


Sources : ND 7- pp. 146-147
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 01-04-1845
Titre : La mère du P. Blanpin
Clé : Libermann et la mère du P. Blanpin
Destinataire : P. Blanpin,

9142 "Ce ne sont pas les biens de la terre qui sont cause que vous n'allez pas porter l'Evangile aux Malgaches; c'est la promesse que j'en avais faite à votre chère mère. Je crois qu'il est utile de lui épargner les inquiétudes et les tracasseries. Soyez patient, mon cher enfant, le moment de Dieu viendra... "


Sources : ND 7- pp. 146-147
Réf-bible :
Remarque : Voir la suite.
 




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