ETUDES sur LIBERMANN
(P. Martins)


  Date : 18-01-1852
Titre : Notre bon Père Supérieur est fort malade
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Mgr Kobès,

1808 Notre bon Père Supérieur est fort malade, et cela depuis six semaines...


Sources : Compl.- pp. 176
Réf-bible :
Remarque : de la part de Lanurien
 


  Date : 01-01-1827
Titre : L'attaque d'épilepsie de février 1827
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10362 Deux entrefilets de l'Ami de la Religion parlent d'un jeune ecclésiastique, israélite récemment converti, qui nous paraît bien être notre Vénérable. Cet ecclésiastique assiste, le dimanche 18 février, le duc de Rohan, plus tard archevêque de Besançon, qui administre le baptême à un juif de trente trois ans, préparé depuis un an par les soins de M. Drach. Ce même ecclésiastique, semble-t-il, est confirmé par l'archevêque de Paris, le dimanche de Pâques 15 avril, à Notre-Dame, à l'issue de la grande messe, avec d'autres néophytes (cf. note). Les émotions de sa conversion durent ébranler les nerfs de M. Libermann, qui eut une forte attaque ... en février 1827.


Sources : ND 1- pp. 106
Réf-bible :
Remarque : Cf. ND 1 du 27 juillet 1828.
 


  Date : 01-01-0
Titre : A Rome? des migraines fréquentes
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10363 A Rome, il s'est imposé de grandes privations et a enduré bien des souffrances : des migraines fréquentes lui rendaient toute application extrêmement fatigante (plus tard il vint à bout de prévenir plusieurs accès au moyen du café).


Sources : ND 1- pp. 70
Réf-bible :
Remarque : Témoignage de M. Gamon.
 


  Date : 01-01-0
Titre : L'épilepsie de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10364 Ainsi s'écoulèrent les premières années de mon séminaire. Tout allait selon mes désirs, lorsque, peu de temps avant de recevoir le sous-diaconat, des attaques nerveuses se firent sentir avec violence. On différa donc mon ordination, et M. le Supérieur m'envoya à Issy, espérant que l'air de la campagne serait salutaire. J'y demeurai jusqu'en 1837.


Sources : ND 1- pp. 67-68
Réf-bible :
Remarque : Récit de M. Gamon.
 


  Date : 01-01-0
Titre : Un homme parfaitement maître de ses mouvements
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10365 "Un homme parfaitement maître de ses mouvements et plein de charité, calcule, examine, prévoit les moyens et les obstacles, puis agit avec force d'âme et ne se laisse ébranler par aucune crainte humaine. Un homme, au contraire, qui a du zèle, mais qui n'est pas maître de lui-même... voit un bien à faire, un mal à empêcher, un vice à déraciner; il ne s'arrête pas à prévoir les obstacles, il marche, court, droit vers son but, brise tout ce qui s'oppose à sa marche, quand il peut; mais des obstacles imprévus l'arrêtent... ; il commet des imprudences, attaque les personnes, ... et cause du mal au lieu de produire le bien... "


Sources : RP Glose- pp. 160-161
Réf-bible :
Remarque : Voir la suite.
 


  Date : 01-01-0
Titre : Une de ses premières attaques
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10366 Une de ses premières attaques d'épilepsie a eu lieu en récréation dans la grande salle d'exercices du Séminaire de Paris, où nous nous promenions à cause du mauvais temps. J'étais à côté de lui avec un ou deux autres Séminaristes. Nous l'emportâmes sur son lit, dans sa chambre, et nous ne le quittâmes que lorsque la crise fut entièrement passée. Il me serait difficile de vous décrire avec quelle sérénité et quelle douce reconnaissance il nous parla, dès que la connaissance lui fut revenue.


Sources : ND 1- pp. 130
Réf-bible :
Remarque : Témoignage de M. Viot.
 


  Date : 01-01-0
Titre : Une attaque d'épilepsie de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10371 "Au commencement de la première année de ma théologie, en février ou mars 1830, je fis au Séminaire une maladie très grave; quoique assez mal portant lui-même, M. Libermann ne voulut pas céder aux autres tous les actes de charité, il vint me faire compagnie. J'étais levé, mais sans pouvoir m'aider d'une jambe, tout entière en plaie par la moutarde qu'on m'avait laissée vingt-quatre heures; je tenais cette jambe étendue sur une chaise. M. Libermann en face me présentait un prospectus quand il fut atteint d'une forte attaque d'épilepsie. Le domestique infirmier l'étendit par terre de manière que je ne pusse pas voir son visage; il appelle les abbés qui occupaient les chambres voisines; on le mit sur mon lit quelques minutes; l'attaque lui passa, on le conduisit dans sa chambre. A cause de cet accident, on ne le laissa plus venir dans ma chambre, à son grand regret; mais lorsque je pus descendre dans la cour, il fut des premiers et des plus empressés à venir me demander de mes nouvelles. Le souvenir de cette attaque me rappelle une autre circonstance que vous devez savoir et qui fait voir tout son abandon à la volonté de Dieu."


Sources : ND 1- pp. 123
Réf-bible :
Remarque : Témoignage de M. Jarrier.
 


  Date : 23-04-1853
Titre : Il ne parlait de lui que pour
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10380 "Il ne parlait de lui que pour le bien du prochain, et me dit un jour : "Je souffre beaucoup; il me semble que quelque chose me tord et me déchire les entrailles : c'est très douloureux!... "


Sources : ND 1- pp. 299
Réf-bible :
Remarque : Voir la suite. Cf. aussi ND 1, pp. 293-300.
 


  Date : 03-08-1888
Titre : Les souffrances de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10381 "Il souffrait quelquefois de la part de Dieu, qui voulait le façonner; il souffrait aussi beaucoup des approches de la maladie terrible... "


Sources : ND 1- pp. 175-176
Réf-bible :
Remarque : Voir la suite. Témoignage de M. Millault, au procès de fama sanctitatis.
 


  Date : 01-01-0
Titre : L'épilepsie de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10382 C'est de lui-même que j'ai appris qu'il était sujet à tomber du haut mal : il n'en paraissait pas plus affecté ni affligé que de la chose la plus indifférente. Je croirais même volontiers qu'au fond de son coeur il s'en réjouissait et en bénissait Dieu comme d'une grâce et d'une faveur.


Sources : ND 1- pp. 114
Réf-bible :
Remarque : Témoignage de Don Salier.
 


  Date : 01-01-0
Titre : Libermann désirait-il être guéri?
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10383 "Ah! Mon cher ami, nous disait-il souvent, priez avec moi la Sainte Vierge, car j'espère obtenir de la Mère de Dieu ma guérison. Nous l'avons vu souvent tomber au milieu des saints exercices... Après cette douloureuse épreuve, qui nous déchirait le coeur à tous, il revenait à la sérénité et à l'épanouissement de sa belle âme; et son doux sourire nous prouvait mieux que la parole... toute la sincérité de sa reconnaissance pour les bons services qu'il avait reçus de nous tous. Il avait sur toute sa physionomie un air de douceur qui attirait les coeurs."


Sources : ND 1- pp. 121-122
Réf-bible :
Remarque : Témoignage de M. Pierre Lachèse.
 


  Date : 08-07-1844
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. Schwindenhammer,

10384 "Il n'y a encore rien de nouveau à vous dire; je ne vous écris que pour vous donner de mes nouvelles. Je suis tout à fait remis, mon rhume est passé aussi."


Sources : ND 6- pp. 264
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 01-01-0
Titre : La santé de Libermann à Issy
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10385 "La retraite d'Issy profita beaucoup à la santé de M. Libermann : ses occupations en plein air, ses courses à Paris calmèrent ses nerfs; les crises de sa maladie furent moins fréquentes : nous trouvons mention d'une première crise à la fin de 1833 (cf. 1 du 3 janvier 1835) et d'une seconde qualifiée de faible, dans les premiers mois de 1835; aucun nouvel accident n'était encore survenu au printemps de 1836; jusqu'en juillet 1837 rien n'est signalé à ce sujet, si bien que les jeunes séminaristes d'Issy connaissent sa maladie ouï dire, sans avoir jamais été témoins des atteintes qu'il en subit... "


Sources : ND 1- pp. 328-329
Réf-bible :
Remarque : Voir la suite.
 


  Date : 21-08-1839
Titre : L'épilepsie de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10386 "... sa maladie... Mon Dieu! Nous le savions qu'il était malade, nous le regrettions... Lui, il était comme si rien n'existait en lui d'extraordinaire, toujours serein, toujours prêt à rendre service, toujours bon séminariste... Je fus très heureux quand je sus que la Très Sainte Vierge l'avait guéri; du moins c'est là ce qui me fut rapporté... "


Sources : ND 1- pp. 118
Réf-bible :
Remarque : Témoignage de M. Rivière, chanoine.
 


  Date : 09-08-1844
Titre : ? Mon pauvre corps
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. Beauchef,

10387 "Vous allez croire que je vous abandonne; je suis cependant bien loin de là. Ce qui a retardé ma réponse, ce fut : 1° un voyage de Paris de 10 jours environ qui m'a mis considérablement en arrière; 2° une indisposition (vous allez vous récrier de nouveau que je ne me soigne pas bien, mais à tort je vis comme un sensuel) qui me prit une huitaine, et enfin 3° toute la besogne la plus pressée et la plus indispensable. Mais enfin me voilà à vous, pas pour un temps considérable, mais assez pour vous dire un petit mot selon mon désir. ... ... ;Ne vous troublez pas sur le compte de mon pauvre corps. Ces petites misères qui m'arrivent de temps à autre sont bien utiles à ma santé. Voyez, si je n'avais pas de temps à autre une petite fièvre, je ne penserais pas assez à prendre soin de moi. Voyez-vous, c'est un stratagème de mon corps, une manière très polie qu'il emploie pour demander des soins; eh bien, cela lui réussit à merveille, je le soigne comme un bijou; ainsi, soyez bien tranquille là-dessus. Du reste, ces marques réitérées de notre mortalité ont une certaine utilité pour nous faire voir que nous ne sommes rien, que nous ne pouvons et ne valons rien, et ce n'est pas un petit bien pour l'âme. C'est tout ce que le bon Dieu prétend en me les envoyant de temps en temps. Soyez tranquille, je ne mourrai pas de ces choses. Je dirai probablement un De profundis pour le repos de votre âme."


Sources : ND 6- pp. 300-301
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 30-10-1831
Titre : Vous me demandez si je reste encore au Séminaire
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. Edouard de Farcy,

10388 "Vous me demandez aussi si je reste encore au Séminaire. Je n'en sais rien; maintenant, me voilà encore au séminaire. Je ne sais pas si Monsieur le Supérieur me gardera ou non. Il m'a gardé jusqu'à présent par pitié, mais il faut enfin se résoudre à me renvoyer; car que voulez-vous qu'on fasse de moi, je suis inutile à tout. Tout ce que je sais, c'est manger, boire et dormir et scandaliser tout le monde. Cette année-ci, nous sommes au séminaire au nombre de quatre-vingt dix à peu près, et plus tard nous serons une centaine. Tout va bien, je me réjouis de voir tant de bons exemples. Il y a un grand nombre de fervents séminaristes. M. E. est prêtre et placé à la paroisse de l'Assomption. Il aime toujours le bon Dieu et la très sainte Vierge de tout son coeur."


Sources : LS 1- pp. 28
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 01-09-1830
Titre : L'épilepsie de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Samson,

10389 Le médecin du séminaire est de l'avis de mon cher frère et je resterai encore cette année pour voir comment cela ira. Je suis maintenant en vacances à une petite lieue de Paris, dans la maison de campagne du Séminaire...


Sources : LS 1- pp. 15-16
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 08-07-1830
Titre : Ma chère maladie est un trésor
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Dr Samson,

10390 "Tous les maux dont Dieu semble nous affliger sont des biens réels, et malheur au chrétien à qui tout va selon sa volonté; il n'est pas comblé des faveurs de son Dieu. Aussi, mes chers amis, je puis vous assurer que ma chère maladie est pour moi un grand trésor, préférable à tous les biens que le monde offre à ses amateurs, puisque ces prétendus biens ne sont que de la boue et de la misère aux yeux d'un véritable enfant de Dieu, et qu'ils ne sont propres qu'à l'éloigner de son Père qui est dans le ciel... je mènerai une vie parfaitement pauvre et uniquement employée à son service... et je défie le monde de me trouver un homme plus heureux... "


Sources : LS 1- pp. 9-10
Réf-bible :
Remarque : Voir tout le texte.
 


  Date : 24-07-1844
Titre : J'aime mieux souffrir quelque chose
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : , Communauté d'Assinie

10391 "Nos besoins sont très grands ici; nous avons juste et bien juste ce qu'il faut, mais la divine Providence ne nous abandonnera pas. J'aime mieux souffrir quelque chose pour votre soulagement que de vous laisser dans la peine et le besoin; vos santés nous paraissent maintenant plus précieuses que jamais."


Sources : ND 6- pp. 279
Réf-bible :
Remarque : Voir le contexte.
 


  Date : 11-05-1844
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. Beauchef,

10392 J'ai tardé à vous répondre parce que votre lettre m'arriva précisément dans un moment fâcheux. La fièvre me tint bien serré et me prohiba le travail pendant dix ou douze jours. Me voilà remis.


Sources : ND 6- pp. 183
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 17-08-1844
Titre : La messe de Libermann pendant sa maladie
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. Luquet,

10393 Lorsqu'il y a un évangile bien long, il m'est impossible de dire la sainte messe. Je suis très mal. Je voudrais donc la permission de dire une messe votive de Beata les jours...


Sources : Compl.- pp. 48
Réf-bible :
Remarque : Voir la suite.
 


  Date : 01-01-0
Titre : Décision du Conseil sur la santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10394 Cher Père, alarmés du mauvais état de votre santé et des progrès incessants que fait votre maladie... . Et nous désirons, nous voulons même, autant qu'il est en nous, que M. le Supérieur soit couché avant dix heures du soir, et qu'il ne se lève qu'après cinq heures du matin...


Sources : ND 7- pp. 517-519
Réf-bible :
Remarque : Voir tout le texte, très intéressant.
 


  Date : 08-07-1830
Titre : Ma santé va toujours mieux
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Samson,

10395 "Ma santé va toujours mieux; les nerfs sont beaucoup plus calmes qu'ils ne l'étaient il y a deux ans. Je n'ai cependant pas avancé au sous-diaconat, parce que mon mal ne m'a pas quitté tout à fait... "


Sources : LS 1- pp. 9
Réf-bible :
Remarque : Voir la suite.
 


  Date : 01-01-0
Titre : L'épilepsie de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10396 La maladie de M. Libermann continuait à produire des crises qui servaient à manifester son admirable patience et son abandon à la Providence divine. J'ai encore entendu dire à M. Pinault que dans les premiers temps qu'il était à Issy, le médecin de la maison venant le voir, après son attaque d'épilepsie, ne pouvait rien comprendre à son calme et à la sérénité de sa physionomie, le voyant paisiblement couché sur son lit, les yeux fixés sur une croix noire qu'il se faisait mettre sur une petite table couverte d'un linge blanc. Ordinairement, après ces crises, disait le médecin, les malades sont pris d'une si violente tristesse que, si on n'avait pas soin d'enlever les couteaux et autres instruments de ce genre, ils seraient capables de se donner la mort. M. Pinault nous disait en effet, que le bon Libermann, comme il l'appelait, lui avait avoué qu'un jour passant sur un des ponts de la Seine, du côté de Notre-Dame de Paris, il s'était senti pressé d'une si profonde mélancolie que, s'il n'avait pas été chrétien et fortifié par sa foi, il se serait jeté dans la rivière. Le bon Dieu qui le préparait graduellement aux Suvres auxquelles il le destinait, lui faisait ainsi savourer une goutte de son calice d'amertume au jardin des Oliviers.


Sources : ND 1- pp. 349-350
Réf-bible :
Remarque : Témoignage de M. Coyer, Eudiste.
 


  Date : 07-05-1878
Titre : La dernière attaque d'épilepsie
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10397 Je m'empresse de répondre à votre lettre en date du 5 mai, par laquelle vous me demandez des éclaircissements à ma déposition. Je la maintiens telle et sans nul changement : épilepsie dans toute la force du terme, avec l'écume à la bouche, et n'ayant aucune connaissance, la veille du Saint-Coeur de Marie, 7 février. Je viens de montrer votre lettre à un de nos Pères, faisant son noviciat avec moi, et témoin comme moi, et qui l'a veillé la nuit suivante. Voici la poste qui part, je m'empresse de fermer.


Sources : ND 1- pp. 356
Réf-bible :
Remarque : Témoignage de M. Maignan, prêtre, missionnaire Eudiste.
 


  Date : 01-01-0
Titre : Libermann éloigne une attaque d'épilepsie
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10398 "Je me rappelle qu'un jour que j'étais allée le voir, je fus douloureusement impressionnée en voyant se manifester sur sa figure tous les symptômes du mal cruel dont il était atteint. Aussitôt il élève ses regards au ciel en disant : "O mon Dieu, ayez pitié de votre serviteur!" et à la minute le calme reparaît sur son visage et il continua la conversation comme si elle n'eût pas été interrompue."


Sources : ND 2- pp. 104
Réf-bible :
Remarque : Témoignage de Mme Fougas.
 


  Date : 13-05-1884
Titre : Qu'il devait sa guérison à la force de la volonté
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10399 "Je sais qu'il a été guéri. Les uns disaient, selon certains médecins, qu'il devait sa guérison à la force de la volonté par laquelle il dominait le mal; les autres disaient que c'était un miracle."


Sources : ND 2- pp. 223-224
Réf-bible :
Remarque : Témoignage de M. Ducournau, mariste, procès apostolique, 38ème session.
 


  Date : 08-04-1829
Titre : Ma santé
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Dr Samson,

10400 "Ma santé n'est pas encore tout à fait rétablie, elle va cependant mieux; mes nerfs m'avaient laissé tranquille pendant dix-huit mois, mais à la fin de l'année dernière et cet hiver, ils m'ont joué de mauvais tours... Au reste je vous dirai que je suis toujours fort content, et je puis vous assurer que je n'ai jamais été aussi heureux que je le suis maintenant : tant il est vrai que plus nous aimons Dieu et plus nous cherchons à le bien servir, mieux nous remplissons le but de notre création! Mais si je voulais vous dire tout ce que j'ai dans le coeur, je n'en finirais jamais. Je vous embrasse de tout mon coeur, ainsi que ma bonne et gentille petite filleule et tous vos chers enfants."


Sources : LS 1- pp. 7-8
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 09-03-1876
Titre : La dernière attaque d'épilepsie
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10401 "La maison Saint-Martin de Rennes se réunissait à la maison Saint-Gabriel, pour assister à la conférence prescrite par nos Règles, pour la veille du Saint-Coeur de Marie; le R.P. Louis lui dit : "Notre frère Libermann, voulez-vous nous dire quelque chose sur la fête?" Il commença de parler, et au bout de quelques minutes, il fut saisi de ce malheureux mal. C'était en 1838, 7 février, vers 3 heures de l'après-midi. Il eut beaucoup de peine à se remettre de cette attaque; il fut indisposé plusieurs jours. Ne craignez point, mon Révérend Père, de m'importuner toutes les fois que vous auriez besoin de quelques détails qui me seraient connus. Je me ferais un bonheur de vous les donner. P.S. Mes remerciements bien sincères au bon P. Barillec des détails qu'il me donne sur la présentation du procès à la Congrégation. J'en bénis le bon Dieu de tout mon coeur."


Sources : ND 1- pp. 355-356
Réf-bible :
Remarque : Témoignage de M. Maignan, prêtre, missionnaire Eudiste.
 


  Date : 24-08-1844
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. Ducournau,

10402 J'ai reçu à peu de distance vos deux lettres, dont la première s'est perdue. Je suis bien blâmable de ne pas vous avoir répondu plus tôt. Cependant, je ne suis pas si coupable qu'on pourrait le croire. J'ai fait bien des choses depuis. J'ai reçu la première à Paris, où je suis resté dix jours. Je suis tombé malade d'une maladie de rien, qui m'a empêché de m'occuper pendant huit jours. Ensuite je fus accablé par la besogne qui était en arrière et celle qui survenait. Enfin je pense bien que toutes ces excuses ne vous rendront pas beaucoup plus indulgent à mon égard, si je n'avais recours à votre charité quae omnia suffert.


Sources : ND 6- pp. 324
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 27-11-1844
Titre : Revenu de Paris avec une furieuse migraine
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. Lossedat,

10403 Je me contente de vous dire ce peu de mots. Je suis revenu de Paris avec une furieuse migraine et un gros rhume de cerveau. Je ne sais comment j'ai pu ramasser assez d'idées pour vous dire ce qui se trouve sur cette lettre.


Sources : ND 6- pp. 456
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 10-01-1845
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Mère Javouhey,

10404 Je n'ai pas répondu encore à votre lettre du 30 décembre pour cause d'indisposition. Je vais un peu mieux maintenant.


Sources : ND 7- pp. 11
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 01-01-0
Titre : L'épilepsie de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10405 A l'égard de sa maladie, arrivé au Séminaire à Issy où il habitait, je n'en ai vu aucune crise, ni suite, ni les symptômes que j'ai si bien observés en d'autres. Je dois dire que, d'après mes observations et l'opinion commune de mes amis, cette maladie devrait être regardée comme une malignité satanique, une sorte d'obsession du démon.


Sources : ND 1- pp. 308
Réf-bible :
Remarque : Témoignage de M. Perrée.
 


  Date : 27-07-1828
Titre : Ma santé va bien
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Samson,

10406 "Ma santé va bien; mon mal de nerfs est, je crois, sur son déclin; depuis le mois de février de l'année passée, je n'ai pas eu de fortes attaques et je me lève le matin maintenant à cinq heures et je fais mon oraison, exercice qui est le plus capable de les irriter et je ne sens cependant rien du tout; c'est sans doute encore une grâce que Dieu m'a accordé et que je n'ai pas méritée."


Sources : ND 1- pp. 149
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 18-09-1829
Titre : Je me promène beaucoup
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10407 "Ma santé va bien; mes nerfs sont calmes depuis les vacances, et je n'ai pas eu d'attaque depuis celle que vous savez. Je me promène beaucoup quand le temps me permet; je ne travaille rien du tout. On s'amuse beaucoup dans le Séminaire; on chante tous le soirs trois ou quatre chants. M. Aibran a été nommé curé du Parnasse; il amuse beaucoup. Je vous embrasse du baiser de la divine charité. Votre ami en Jésus-Christ notre bon Sauveur. Mes hommages très respectueux à vos parents et à M. Bonneville. Vous ne me dites pas comment va sa santé : elle m'intéresse beaucoup."


Sources : ND 1- pp. 135
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 08-04-1829
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Dr Samson,

10408 "Je crois que le travail d'esprit m'avait fatigué; j'étais occupé toute la journée sans relâche à l'étude de la théologie; aussi maintenant, dès que je veux travailler un peu, je sens un serrement à la tête, comme si le front et les tempes m'étaient ceints d'un bandeau de fer. Tout cela m'oblige à prendre du repos pendant quelques années jusqu'à ce que ma santé soit tout à fait remise. J'ai résolu de me retirer pour quelque temps du Séminaire; je ne sais pas encore où j'irai, mais je ne suis pas inquiet là-dessus. M. Auger, supérieur d'un collège, m'a offert de me donner quelque emploi dans sa maison où je n'aurais pas besoin de travailler, et il est possible que j'accepte. Au reste... "


Sources : ND 1- pp. 150
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 08-07-1830
Titre : Les nerfs sont beaucoup plus calmes
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Dr Samson,

10409 "Il faut maintenant que je commence à vous parler de moi-même. Je suis fort coupable de ne vous avoir donné aucune nouvelle depuis si longtemps. Prévoyant que je ne pourrais rien vous dire qui vous fit plaisir, j'avais pris le parti de me taire, et voilà toute la raison de ma négligence. Ma santé va toujours mieux; les nerfs sont beaucoup plus calmes qu'ils ne l'étaient il y a deux ans. Je n'ai cependant pas avancé au sous-diaconat, parce que mon mal ne m'a pas quitté tout à fait, et probablement j'en aurai encore pour bien longtemps. Par conséquent je ne pourrai pas y être promu d'ici à plusieurs années et peut-être jamais. Voilà qui est bien affligeant, désolant, insoutenable. Sûrement, ce serait là le langage d'un enfant du siècle, qui ne cherche son bonheur que dans les biens de ce monde, et qui agit comme s'il n'y avait pas de Dieu pour lui. Mais ce n'est pas ainsi que font les enfants de Dieu, les véritables chrétiens : ils se contentent de tout ce que leur Père céleste leur donne, parce qu'ils savent que tout ce qu'il leur envoie, leur est bon et utile, et que s'il en arrivait autrement, ce serait un véritable malheur pour eux."


Sources : LS 1- pp. 9
Réf-bible :
Remarque : Voir la suite.
 


  Date : 01-01-0
Titre : Des infirmités précoces de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10410 Letourneur, I, pp. 41, 54-60, 66.


Sources : - pp.
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 12-01-1845
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : , Supérieure de Castres

10411 "A l'extérieur, l'adresse est mise d'une écriture qui paraît être celle de M. Tisserant. Timbre de la poste : Le Havre, 29 janvier 1845. Castres, 2 février 1845. Ma très honorée Mère, Ce qui a mis le grand retard dans ma réponse à votre lettre, ce fut une indisposition qui dure depuis un mois. J'avais la tête fatiguée à ne pouvoir m'occuper sérieusement. Je n'ai pu lire votre lettre qu'il y a quelques jours et c'est M. Tisserant qui me l'a lue. Je fus bien aise de conférer avec lui sur l'objet qu'elle renferme... Veuillez bien consoler et encourager nos chères SSurs du contretemps qui empêche M. Tisserant de venir à Castres. J'aurais bien voulu lui écrire à ce sujet, mais j'ai la tête si misérable encore que je suis bien content d'avoir pu venir à bout d'écrire celle-ci. Veuillez me croire toujours dans l'union de la charité de Jésus et de Marie; votre très dévoué et très humble serviteur."


Sources : ND 7- pp. 15 et 18
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 12-01-1845
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Mme Bresdon,

10412 A Madame Bresdon et Mademoiselle Bégel. J'ai reçu, il y a longtemps, vos lettres, ainsi que la caisse que votre charité m'a adressée. Une indisposition assez longue m'a empêché de vous répondre. Cela va mieux maintenant, quoique je ne sois pas encore tout à fait remis. Je vous prie donc de vous contenter du petit mot que je vous dis seulement.


Sources : ND 7- pp. 14
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 02-01-1845
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. Beauchef,

10413 "Que je vous plains et que de fois je vous ai plaint, en me voyant obligé de laisser votre lettre si longtemps sans réponse, et surtout dans une circonstance aussi critique! Mais que faire, quand on est pauvre homme comme je suis? J'ai eu encore, comme à l'ordinaire, pendant l'hiver, mes misères d'entrailles. J'ai failli avoir une gastrite; j'étais incapable de m'occuper sérieusement; je fus obligé de tout négliger, et maintenant que je suis remis, je suis en retard pour tout. Vous allez maintenant me gronder en disant que je me néglige trop. Si vous étiez ici, vous ne diriez plus cela; bien au contraire, vous diriez que je suis devenu un sensuel. Il faut mettre le respect humain sous les pieds et devenir sage."


Sources : ND 7- pp. 7
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 14-12-1845
Titre : La tâche d'huile
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : 422,

10414 "P.S. - La tâche d'huile ne doit pas vous faire croire que j'ai écrit cette lettre pendant la nuit; ne m'accusez pas d'infidélité : le bon Frère a laissé une goutte d'huile sur le poêle; je ne m'y attendais pas, j'y mis ma lettre pour la sécher; c'était à dix heures du matin, entendez-vous?"


Sources : ND 7- pp. M. Warlo
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : AS-CE-1846
Titre : La santé de Libermann : notre bien-aimé Père a la simplicité d'un enfant
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Schwindenhammer,

10415 "M. le Supérieur a perdu plusieurs jours par des indispositions de fatigue, qui sont bien passées à présent. Dieu merci! Mais je me garderai bien désormais de lui laisser passer deux nuits consécutives en diligence; c'est beaucoup trop pour lui. Mieux vaut mettre un peu plus de temps et conserver la santé de notre bon Père. En vérité, j'ai bien peur d'avoir à répondre devant la communauté de mon peu d'intelligence à exécuter la charge, que vous m'avez confiée, de veiller aux besoins matériels de notre supérieur. Priez le bon Dieu qu'il rende ma bonne volonté plus efficace. Du reste, notre bien-aimé Père a la simplicité d'un enfant pour se laisser faire et pour demander ingénument les choses qui leur sont utiles et auxquelles je ne pense pas toujours. A Dieu, la paix soit avec vous!"


Sources : ND 8- pp. 164
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 30-10-1831
Titre : L'épilepsie de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10416 Je suis un pauvre homme, je ne sais pas ce que Messieurs de Saint Sulpice feront de moi.


Sources : ND 1- pp. 147
Réf-bible :
Remarque : Témoignage de M. de Farcy.
 


  Date : 21-05-1832
Titre : Ma poitrine n'est pas encore bien solide
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Samson,

10417 Dites à Samuel que... je lui écrirai quand je vous enverrai par la diligence les objets dont je viens de parler, car écrire trop à la fois pourrait fatiguer ma poitrine qui n'est pas encore bien solide.


Sources : KS 1- pp. 38
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 21-05-1832
Titre : Malade d'une fluxion de poitrine
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Dr. Samson,

10418 Mon très cher frère et ma très chère sSur, J'ai tardé un peu à vous répondre parce que j'étais malade d'une petite fluxion de poitrine qui m'a retenu au lit pendant huit ou dix jours. Une transpiration abondante et continuelle que le bon Dieu m'a envoyée, m'a guéri.


Sources : LS 1- pp. 29
Réf-bible :
Remarque : ND 1, 162.
 


  Date : 27-07-1832
Titre : ? fièvre qui a duré de 10 à 12 jours
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. Viot,

10419 "Mon vénérable et cher frère, Vous me croyez sans doute bien coupable, parce que je n'ai pas encore répondu à votre dernière lettre; ce n'est cependant pas de ma faute; je l'ai reçue étant au lit et travaillé de la fièvre, qui a duré dix à douze jours; maintenant je suis en convalescence."


Sources : LS 1- pp. 39
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 13-09-1835
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Samson,

10420 "P.S. Ma santé va assez bien; je n'ai rien eu depuis l'an dernier. Cependant ne comptez pas me voir prêtre un jour. Je suis vraiment peiné de ne rien pouvoir trouver pour notre bon David. Engagez-le à avoir patience; le bon Dieu lui procurera des moyens de subsistance, s'il persévère dans son bon dessein. Le 1er dimanche de Carême tombait le 20 février en 1836; le timbre de la poste au recto de la lettre porte la date du 8 mars."


Sources : ND 1- pp. 166
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 20-03-1846
Titre : Quand cette fidèle compagne est là
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Mère Javouhey,

10421 "L'unique cause de mon retard vient de ma méchante migraine qui ne m'a pas laissé un instant de relâche depuis le lendemain de mon retour de Paris. A peine ai-je pu faire le plus pressé de ma besogne, et encore m'en suis-je tiré le mieux que j'ai pu; quand cette fidèle compagne est là, elle me laisse à peine la faculté de penser. Enfin, que Dieu soit béni! Elle est partie, et je vous écris."


Sources : ND 8- pp. 80
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 01-06-1846
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Samson Libermann,

10422 Depuis longtemps, je vous dois de mes nouvelles, mais quand on est en voyage, on ne saurait répondre de soi. Avec la meilleure volonté du monde, je fus obligé de garder le silence. Et maintenant, il faut bien que je me contente de quelques mots. Je me suis toujours parfaitement bien porté. Depuis hier seulement, j'ai la migraine, et voilà pourquoi je ne puis vous écrire bien au long. Cette migraine, selon sa coutume, va me quitter demain. Je n'ai pas trop à m'en plaindre : voilà plus de trois mois qu'elle ne m'a pas visité, et cette fois-ci, ce n'est qu'une migraine de moyen calibre qui d'ordinaire ne dure que deux jours.


Sources : ND 8- pp. 186
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 01-06-1846
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Schwindenhammer,

10423 "11° Pour le Ministère, je n'y ai pas fait grand'chose. J'y ai reçu une lettre qui consent à ce que je fasse des poursuites à Rome, pour que nous soyons déchargés de Dakar. Je vous en donnerai extrait demain, quand M. Blanpin me l'apportera. J'ai perdu tout mon temps à Paris à chercher M. Marziou. Je fus plus de six fois chez lui sans le trouver. Je l'ai enfin trouvé. Il pourra nous être utile par la suite, mais peu pour le moment. Il m'a donné cependant rendez-vous à Marseille. Je vais lui écrire aussitôt que je serai assuré de l'époque où je me trouverai dans cette ville. Je fus indisposé à Paris, je le fus à Strasbourg, à Saint-Dié; en un mot, la première quinzaine n'était pas fameuse pour la santé. Depuis Lyon, je me porte à merveille. Je pense que cela marchera maintenant. Je vous écrirai de Rome ainsi qu'à toute la Communauté."


Sources : ND 8- pp. 167
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 26-01-1845
Titre : Mes misérables migraines
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Le Vavasseur,

10424 "Je réponds à votre lettre, sans ordre; n'importe; pourvu que je vous dise les choses, cela suffit. Je devais vous répondre depuis un mois environ. Vous recevrez, avant celle-ci, une que je vous ai écrite, il y a un peu plus d'un mois. J'étais dans mes misérables migraines pendant tout ce temps et ne pouvais veiller la nuit pour écrire, et d'ailleurs je n'étais bon à rien."


Sources : ND 7- pp. 24
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 26-01-1845
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. Fauconnier,

10425 "P.S. - Je vous prie de m'excuser de ce que j'ai tant tardé à vous envoyer cette lettre. Je désirais voir M. Dubas pour régler les comptes; je ne l'ai pu pour cause d'indisposition. Je vous envoie donc, en attendant, le reçu; je vous enverrai prochainement, par la première occasion, les comptes approuvés."


Sources : ND 7- pp. 24
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 13-09-1835
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Samson,

10426 "Aussi ma joie est grande, parce que j'espère qu'il vous en arrivera un grand bien pour le salut et la perfection de vos âmes. Ma santé du reste est toujours dans le même état. Il y a un intervalle de quatorze à quinze mois entre un accident et un autre; mais au bout de ce temps il en est venu un très léger, il est vrai; il tardera peut-être à venir autant de temps, peut-être moins, peut-être plus. N'importe tout cela! Aimez Dieu de tout votre coeur, cela vaut mieux que tout le reste."


Sources : ND 1- pp. 282
Réf-bible :
Remarque : LS 1, 117.
 


  Date : 03-01-1835
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Samson,

10427 "Ma santé va bien; voilà un an qu'il ne m'est pas arrivé d'accident. Je n'en suis pas guéri pour cela et je ne crois pas que le bon Dieu me veuille dans le sacerdoce. S'il m'y appelle, je suis à lui; il sait que je suis prêt à tout ce qu'il lui plaira."


Sources : ND 1- pp. 164-165
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 10-09-1833
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Samson,

10428 Je me porte assez bien dans ce moment, et ce n'est pas par défaut de santé que je ne suis pas venu chez vous. Je vous dis cela parce que vous auriez pu croire que cette circonstance imprévue dont je vous parle était la maladie, ce qui n'est pas vrai. Je désire beaucoup avoir une lettre d'Esther et de Libmann. Je suis fort étonné qu'ils me laissent depuis tout ce temps sans me donner aucune nouvelle.


Sources : ND 1- pp. 162
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 31-12-1837
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Samson,

10429 "... Ma santé se soutient parfaitement depuis que je suis ici; voilà bientôt trois ans que je suis tranquille."


Sources : ND 1- pp. 366
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 26-01-1836
Titre : Ma santé?, elle va toujours de même
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. Eugène Viot,

10430 "Vous êtes bien bon de vouloir vous intéresser à ma santé; elle va toujours de même, et semble aller un peu mieux cette année; je n'ai pas encore eu d'attaque. Que le bon Dieu fasse tout ce qu'il lui plaira."


Sources : LS 1- pp. 22
Réf-bible :
Remarque : ND 1, 138.
 


  Date : 13-09-1835
Titre : Ne vous inquiétez pas de ma santé
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10431 "Ne vous inquiétez pas de ma santé, le bon Dieu sait ce qu'il a à faire; laissons-le agir dans toute la plénitude de son amour. Ne vous inquiétez pas pour moi des biens de cette terre, parce que je ne m'en inquiète pas moi-même. Dieu seul doit être mon unique partage et mon unique amour. Malheur à moi si je pense à chercher quelque autre chose sur la terre. Ma santé du reste est toujours dans le même état. Que le bon Dieu soit avec vous, et qu'il vous conserve dans sa grâce et dans sa paix ainsi que toute votre chère famille. Tout à vous en la très sainte charité de Jésus et de Marie."


Sources : LS 1- pp. 122
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 30-11-1839
Titre : Vous connaissez la fragilité de mes nerfs
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. Louis,

10432 "J'ai fixé mon départ pour lundi prochain; cela est important et nécessaire. Vous connaissez, monsieur le Supérieur, la fragilité de mes nerfs; je crains que la peine extrême que j'éprouve, quand je pense au chagrin que je vais causer à tous ceux qui m'environnent et que j'aime de tout mon coeur, n'aille me donner quelque mauvaise secousse. Que le bon plaisir de mon Seigneur Jésus soit encore fait en cela; mais je dois prévenir cet accident. Adieu donc, mon bon et cher Père; à Dieu, à Jésus et à Marie pour la vie et pour l'éternité. Donnez encore une fois votre bénédiction à ce pauvre homme, qui sera pour la vie en la charité de Jésus et Marie, votre très indigne enfant et serviteur."


Sources : LS 2- pp. 298-299
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 15-10-1841
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Samson,

10433 J'ai reçu la lettre de Rennes : je vous fais cadeau des 5 francs. J'ai écrit au vénérable M. Liebermann. Je me porte comme je ne me suis jamais porté, et cela par un temps très mauvais d'automne.


Sources : ND 3- pp. 39
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 10-08-1841
Titre : Je n'ai pas encore la parole libre
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. Cahier,

10434 ... cependant je ne suis pas guéri. Je n'ai pas encore la parole libre, et par conséquent je ne pourrais me hasarder à prêcher. Je vais demeurer dans un lieu retiré, à Strasbourg même...


Sources : ND 2- pp. 493
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 31-07-1841
Titre : Ma santé va très bien
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Mme Fougas,

10435 Pour moi, je suis sous-diacre... Ma santé va très bien. Je vous remercie beaucoup des nouvelles que vous avez la bonté de me donner sur ce qui se passe à Rome.


Sources : ND 2- pp. 108
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 04-01-1838
Titre : Ma santé va très bien
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. Telles,

10436 "Pour moi, ma santé va très bien; je ne suis plus aussi délicat que j'étais à Issy; vous me gâtiez; maintenant des haricots, du lard fumé, des choux, de la morue, etc., voilà ce qui remplace les Sufs à la coque dont je ruinais votre maison... "


Sources : ND 1- pp. 375
Réf-bible :
Remarque : Voir la suite.
 


  Date : 10-08-1841
Titre : Ma santé va beaucoup mieux
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. Cahier,

10437 "Ma santé va beaucoup mieux; voilà plus de trois ans et demi que je n'ai pas eu d'attaque et les petits mouvements diminuent; cependant, je ne suis pas guéri. Je n'ai pas encore la parole libre, et par conséquent je ne pourrais me hasarder à prêcher. Je vais demeurer dans un lieu retiré, à Strasbourg même. Une autre fois je vous expliquerai davantage l'état des choses. A Dieu, mon très cher Père et ami. Vivez dans le Seigneur, et que le Seigneur vive en vous comme Marie a vécu en Jésus, et Jésus en elle, afin que leur saint amour triomphe et règne toujours dans votre âme. Tout vôtre en ce saint amour."


Sources : ND 2- pp. 493
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 17-02-1842
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Samson,

10438 "Ma santé va très bien depuis tout ce temps. Tes pastilles m'ont fait du bien, au moins je le crois. Je n'en ai plus. Vers la fin, j'en prenais deux à la fois, c'est-à-dire six par jour. Ai-je mal fait? Si j'en avis, j'en prendrais encore. Je n'ai pas eu de coliques cet hiver, je crois que j'en serai quitte désormais. Mes migraines ont diminué; je n'en ai eu que lorsque je m'étais refroidi la tête. Il me serait difficile de t'envoyer des vies de saints; peut-être plus tard, lorsque je le pourrai."


Sources : ND 3- pp. 150
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 09-03-1845
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10439 "Ne m'en voulez pas de vous avoir laissé si longtemps sans réponse. Il y a cinq semaines à peu près que je reçus votre lettre, pas même si longtemps encore, et depuis un mois je suis misérable par une névralgie à la tête, accompagnée d'abord par un dégoût extrême de toute nourriture. Cela est venu d'abord par le charbon de terre que je brûlais dans la chambre, et ensuite par le froid qui m'a saisi la tête. Cela va bien maintenant, je suis tout à fait remis; mais pendant tout ce temps de misère, j'ai tout négligé, étant incapable de m'occuper sérieusement. Ecrivez-moi souvent. Tout à vous en la charité du très saint Coeur."


Sources : ND 7- pp. 39
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 30-03-1845
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Samson,

10440 "Ne croyez pas que je sois toujours accablé d'ouvrage; cela m'arrive par moments; d'autres fois, je suis plus tranquille. Mon mal est que je ne puis pas veiller assez avant dans la nuit pour faire la besogne. Il faut prendre sept heures de sommeil, quelquefois davantage. Je ne me force pas dans le travail, je ne le puis pas, ou cela va tout seul, ou je ne puis rien faire. Si je veux faire de la contention, au bout d'un quart d'heure, je ne suis plus bon à rien; ainsi, il n'y a rien à craindre de ce côté-là."


Sources : ND 7- pp. 105-106
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 12-06-1845
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. L'abbé N.,

10441 "Je me porte à merveille; je vous écris à dix heures et demie de la nuit."


Sources : ND 7- pp. 207
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 22-06-1846
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : P. Schwindenhammer,

10442 "Ma santé se soutient parfaitement; je me porte beaucoup mieux qu'à la Neuville; la chaleur me va bien... "


Sources : ND 8- pp. 182
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 23-10-1841
Titre : Le médecin en question? un charlatan
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. Lanurien,

10443 "Le médecin en question est un peu charlatan comme le sont à peu près tous ceux de Rome, son remède était un composé de toniques, d'antispasmodiques et d'un troisième genre, dont je ne retiens pas le terme technique, qui est pour purifier le sang. Ce composé est compliqué d'une quinzaine de remèdes : c'est un peu une médecine de cheval, qui peut faire quelque bien lorsque la maladie est sur son déclin; mais il pourrait y avoir du danger à se mettre entre les mains d'un tel médecin. Si vous voulez avoir ces remèdes, je vous les enverrai; j'en ai encore la recette. J'oublie une chose : il y aurait de graves inconvénients pour vous de venir faire votre théologie ici. Vous êtes bien mieux à Saint-Sulpice."


Sources : ND 3- pp. 46-47
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 06-07-1842
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Samson,

10444 "Me voilà bien en retard. J'ai presque honte de faire le 6 juillet, la réponse à une lettre du 13 mai; mais il vaut mieux tard que jamais. Je n'ai rien de nouveau à vous dire sur mes affaires. Ma santé va bien, à quelque chose près. Depuis une diarrhée et un commencement de dysenterie que j'ai eu à la fin du carême, j'ai de la peine à me remettre entièrement. Les entrailles conservent un je ne sais quel désordre qui ne se remet pas tout à fait. Il me reste toujours, depuis ce temps, un certain relâchement d'entrailles. Tous les matins, je suis dérangé deux ou trois fois, depuis 5 h. 1/2 jusqu'à 6 h. 1/2, c'est-à-dire depuis mon lever jusqu'à environ une heure après. Je dis alors la sainte messe. Après avoir pris les ablutions, je suis tranquille à peu près toute la journée, excepté parfois aux changements de temps, qu'il y a aussi quelque désordre dans la journée. Cela est assez rare depuis que je me suis remis à boire du vin à table au lieu de bière. Je crois que cela tient aux nerfs plutôt qu'à toute autre chose. Du reste, la santé va bien. Mes migraines me prennent de temps à autre, mais cela ne dure pas, et je suis ensuite tranquille. J'ai un pauvre corps, il faut tâcher de le traîner jusqu'au bout; quand son jour viendra, le bon Dieu en fera ce qu'il jugera à propos. Pour la nourriture, voici à quoi je m'en tiens. Le matin, du pain et de l'eau; je crois que c'est ce qui me va le mieux; le lait et même le chocolat me tourne de suite dans l'estomac, et il ne se passe pas trois quarts d'heure après en avoir pris, que je n'aie le bas-ventre bouleversé, ce qui ne dure qu'un quart d'heure. Avec le pain et l'eau, je suis tranquille. La mortification, dans ce cas, me semble fort utile au corps. A midi, de la soupe, du bouilli, des légumes et un peu de fruits, de l'eau rougie par un tiers de vin. Depuis quelque temps, j'y mets d'une certaine poudre dont on fait l'eau de seltz. Le soir, à 7 heures, des légumes, de la salade en été et de la soupe en hiver, et un peu de fruits. Le médecin voulait que je mangeasse du rôti à midi; je n'ai pas suivi son avis jusqu'à présent."


Sources : ND 3- pp. 218-219
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 29-07-1842
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. Clair,

10445 J'ai tardé longtemps à vous répondre, par suite d'une indisposition qui me mettait hors d'état de le faire pendant quelque temps et qui me laissait trop de besogne pour le faire de suite après mon rétablissement. Que votre charité ne diminue pas cette négligence.


Sources : ND 3- pp. 235
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 13-11-1843
Titre : La recette pour l'eau qui guérit des maux d'yeux
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Pauline,

10446 "Dites à votre papa que je le prie de m'envoyer encore une fois la recette pour l'eau qui guérit des maux d'yeux. Je le prierai de l'écrire clairement et lisiblement, afin que je puisse en prendre copie. Caroline va très bien; elle travaille beaucoup et se fait aimer de tout le monde. Adieu, chère Pauline, que la paix de Notre-Seigneur soit dans votre âme. Tout à vous en Jésus et Marie."


Sources : ND 4- pp. 431
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 02-08-1843
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. Schwindenhammer,

10447 ... depuis quelques jours, je suis mal à mon aise, et c'est la raison pour laquelle vous n'avez pas reçu ma réponse hier ou ce matin...


Sources : ND 4- pp. 280
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 23-01-1844
Titre : Ne vous inquiétez pas de ma santé
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Mlle Guillarme,

10448 "Le bon M. Schwindenhammer a oublié de me remettre les lettres qu'on lui avait données pour moi à Paris, et la vôtre était du nombre. Je l'ai reçue hier. Ne vous inquiétez pas de ma santé, elle va très bien. Ces courses fréquentes et parfois un peu fatigantes, au milieu de la boue me soutiennent et me font un grand bien. Le remède est un peu dur pour un paresseux qui voudrait toujours rester dans sa coque; mais que faire? Il ne faut cependant pas négliger ce pauvre corps. Il lui en coûte un peu, tant mieux; il faut bien qu'il contribue à payer ce qu'on fait pour lui. La bouteille que M. Tisserant m'a donnée me fait beaucoup de bien à l'estomac. Je me suis contenté longtemps à la regarder seulement, c'était déjà quelque chose : il faut aller doucement quand on a une médecine à prendre. Plus tard, j'en prenais toutes les fois que j'éprouvais une gêne. Quand elle sera finie, j'en serai quitte. Etes-vous contente de moi maintenant?Je ne voudrais pas demeurer toujours au même endroit que vous, vous me tourmenteriez trop pour ce pauvre corps. Ne savez-vous pas que plaider sa cause c'est être avocat du diable? Si nous lui donnions tout ce qu'il demande, il deviendrait trop fier et nous tracasserait. Il est bon qu'il soit mal à son aise, de temps à autre, il en est un peu plus modeste. Cependant, je puis vous assurer qu'aux migraines près, je me porte fort bien et encore j'ai trouvé un remède à ces migraines et je l'emploie. En voilà assez pour vous tranquilliser sur ce point."


Sources : ND 6- pp. 19-20
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 08-03-1844
Titre : Un remède pour ma migraine
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : P. Collin,

10449 P.S. - Je vous dirai que, définitivement, j'ai trouvé un remède efficace pour ma migraine : une tasse de café bien amer me la fait tomber de suite. Il ne faut pas dix minutes pour la faire passer entièrement.


Sources : ND 6- pp. 104
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 23-01-1844
Titre : La mauvaise disposition de mes organes
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Mlle Guillarme,

10450 "... à La Neuville. Je ne pense pas que nous soyons dans une position malsaine. Il est de fait que voilà le troisième hiver que nous y passons et jamais de malade, excepté moi, la seconde année; mais cela ne tenait pas au sol, mais à la mauvaise disposition de mes organes... "


Sources : ND 6- pp. 20-21
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 10-05-1849
Titre : La maladie de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10451 La longue maladie que j'ai faite.


Sources : Compl.- pp. 145
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 10-05-1849
Titre : La maladie de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10452 La santé de Libermann.


Sources : Compl.- pp. 167-168
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 10-05-1849
Titre : La maladie de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10453 L'épilepsie de Libermann


Sources : ND 1- pp. 57
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 01-06-1846
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Samson,

10454 Ma migraine d'hier et d'aujourd'hui...


Sources : ND 8- pp. 187
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 10-05-1849
Titre : La maladie de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10455 Egalité d'âme de Libermann dans ses maladies.


Sources : Compl.- pp. 182
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 06-09-1845
Titre : Que je dois prendre autant de sommeil
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Le Vavasseur,

10456 "Nos Messieurs se sont réunis, il y a déjà du temps, et ont statué entre autres choses, que je dois prendre autant de sommeil que tous les autres membres de la communauté. Je ne puis donc plus veiller pour faire la besogne, je n'ai que deux heures le jour pour cela, tout le reste est occupé par le soin du noviciat, qui, étant nombreux, ne me laisse pas un instant de repos. Ils ont statué aussi touchant le régime que je dois suivre pendant les repas, régime tout autre que celui de la communauté. C'est le médecin, qui avait ordonné bien souvent ce régime, mais je ne pouvais me résoudre à vivre délicatement et d'une manière différente des autres membres de la communauté. J'ai cru devoir obéir à tout ce que mes confrères demandaient touchant ma personne, et j'y suis fidèle. Il m'en coûte infiniment. Un exemple pareil de la part d'un supérieur produira, tôt ou tard, de mauvais effets. Que Dieu soit béni de tout; il me semble que c'est sa divine volonté. Du reste, depuis ce temps, cela va beaucoup mieux; voilà près de deux mois que je n'ai plus eu de migraine, et auparavant, presque tous les jours."


Sources : ND 7- pp. 291
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 08-04-1845
Titre : Ma migraine? une bonne compagne
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : , Communauté de Bourbon

10457 "Mes chers Frères, il faut vous contenter du peu que je vous dis : une misérable migraine est venue me saisir au milieu de ma lettre adressée à vous, et de celle adressée à votre cher supérieur (car je menais toutes les deux de front). Il fallut rester sans rien faire pendant trente-six heures au moins, et en ce moment me voilà en retard. Vous n'aurez pas non plus de lettres particulières que j'aurais bien désiré vous écrire. Il ne faut vous en prendre qu'à ma migraine. Ne lui en voulez cependant pas, c'est une bonne compagne, qui m'aime bien, puisqu'elle me visite si fréquemment. Ordinairement, je lui offre une tasse de café noir, elle s'en contente et se retire aussitôt; mais lorsque je n'y pense pas ou que je n'ai pas le temps de lui faire cette politesse, elle me le fait bien sentir. Ne demandez pas au bon Dieu de me l'enlever, elle m'est très utile. Vous souffrez en vous sacrifiant à la gloire de Dieu, et moi pour ne rien faire; mais n'importe, ne faisant rien, il faut au moins que je souffre quelque peu. Du reste, il paraît que Dieu veut remplacer ma maladie de nerfs par cette migraine, car à mesure que la migraine est fréquente, la maladie de nerfs diminue. Adieu, chers Frères. Tout à vous en Jésus et Marie."


Sources : ND 7- pp. 125-126
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 11-07-1845
Titre : J'ai eu deux jours de migraines
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : P. Clair,

10458 "Il est temps de répondre à votre lettre du 2 : j'attendais l'arrivée de Monseigneur. Je suis allé le voir deux fois sans le trouver; j'ai donc prié M. de Brandt de faire la commission; il ne l'a faite qu'à demi, par mesure de prudence. Monseigneur doit vous avoir répondu, je présume; je n'ai revu M. de Brandt qu'il y a quatre jours; j'ai eu deux jours de migraine; cette bonne amie de mon âme n'a pas voulu que je m'occupe d'autres objets pendant les deux bonnes journées qu'elle a passées avec moi; aujourd'hui, je fus obligé de confesser; enfin, je vous écris en ce moment, à 10 heures, ayant été dérangé ce soir jusqu'à ce moment. Je pense que votre bonne charité ne m'en voudra pas pour mes retards, ni pour la concision avec laquelle je vous écris."


Sources : ND 7- pp. 242
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 15-11-1845
Titre : Les yeux de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. Warlop,

10459 "Pour la maison à bâtir, je ne puis rien vous dire; je n'ai pu déchiffrer les questions que vous me faites à ce sujet; votre encre était trop blanche et l'encre de l'autre côté de la feuille, trop noire, perçait et effaçait à mes yeux ce que vous disiez; mais vous verrez, quand vous serez sur les lieux, la destination de cette maison. D'ailleurs, j'en ai donné quelques détails à M. Tisserant, et mes idées ne sont pas assez arrêtées, parce que je n'y vois pas assez clair. Je ne m'étonne pas de tout ce que vous me dites de M. Guibou; je connaissais l'homme. Je n'ai pu concevoir comment il faisait ses affaires. Adieu. Tout à vous en Jésus et Marie."


Sources : ND 7- pp. 400
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 15-11-1845
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : P. Lossedat,

10460 "Mon cher confrère, J'ai reçu vos lettres du 8, il y a trois jours; un vilain brouillard, ayant la migraine sans cesse à mes trousses, je n'ai pas osé vous écrire depuis ce temps. Cette bonne migraine s'est contentée de rester à la porte, et n'a pas osé entrer en plein, de manière que je n'ai pas à m'en plaindre cette fois-ci."


Sources : ND 7- pp. 395
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 31-10-1845
Titre : J'ai encore la tête trop faible
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. l'abbé Warlop,

10461 "Mon cher confrère, Je viens de recevoir des lettres de Gorée qui donnent toujours de bonnes espérances pour l'avenir. Je vous écris à cette occasion un petit mot; le grand mot viendra plus tard, quand vous m'aurez écrit bien au long. D'ailleurs, je ne pourrais le faire en ce moment si au long que je le voudrais; j'ai encore la tête trop faible; à une autre fois donc."


Sources : ND 7- pp. 351
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 06-11-1845
Titre : Ayant de fréquentes migraines
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Le Vavasseur,

10462 "Je vous écris rarement parce que je suis accablé de besogne; et ayant de fréquentes migraines, je ne puis veiller la nuit pour le faire."


Sources : ND 7- pp. 371
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 09-02-1846
Titre : La santé de Libermann : je n'étais bon à rien qu'à dormir
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10463 J'ai commencé par écrire à la chère SSur Aurélie, comme plus ancienne que vous, et puis une grosse migraine m'a arrêté pendant cinq jours : je n'étais bon à rien qu'à dormir. Pendant ce temps d'inaction, des affaires pressées s'accumulaient et me voilà au 9 à reprendre ma correspondance avec Castres.


Sources : App.aAu T. 13- pp. 11
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 10-05-1849
Titre : La maladie de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10464 Dernière maladie et mort de Libermann


Sources : ND 13- pp. 642-672;
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 30-06-1847
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : P. Collin,

10465 "Vous ne sauriez croire, mon cher confrère, combien je souffre de l'accablement où je me trouve par toutes les affaires desquelles je suis chargé tout seul sans pouvoir y suffire. Je suis désolé, oppressé de ne pas pouvoir vous écrire aussi souvent que je voudrais à vous, à nos autres chers confrères. J'espérais pouvoir le faire facilement étant une fois établi au Faubourg. En effet, je l'aurais pu, M. Lannurien étant chargé de l'exercice du matin; mais depuis deux ou trois mois j'ai des migraines si fréquentes par suite de mes précédentes veilles et l'application continuelle, que cela me prend littéralement la moitié de mon temps. Ces migraines tiennent aussi, je pense, à ma faute. J'avais abandonné le régime qui m'avait été prescrit. Il me coûtait d'avoir des distinctions à table, de me nourrir délicatement, tandis que les confrères avaient une nourriture commune, de boire du vin de Bordeaux, tandis qu'eux boivent de la bière de Picardie ou de l'abondance d'un verre de vin sur trois d'eau. Je m'étais donc mis à peu près au régime commun, j'ai mal fait. Je suis enfin revenu de mon erreur, et je suis maintenant un régime très nourrissant et tonique, jusqu'au point de manger du mouton et des pigeons, le vendredi et le samedi. Cela commence à mieux aller, et j'espère que mes méchantes migraines diminueront, et alors je serai tout à vous. En attendant, patientez et ne vous fâchez pas."


Sources : ND 9- pp. 219-220
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 09-07-1846
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10466 Pendant toute la route jusqu'à présent (excepté à Strasbourg), je me suis très bien porté, même beaucoup mieux que toute l'année. Je suis arrivé à Rome samedi. M. Blanpin y était déjà. Je me porte très bien à une malheureuse migraine près. Je n'en ai pas ressenti pendant tout mon voyage. J'en fus pris avant hier, elle va en déclinant aujourd'hui. Le 25, jour de Saint-Jacques, je vais aller dire la sainte messe sur le tombeau des SS. Apôtres, pour toute la Congrégation, et particulièrement pour le noviciat. Unissez-vous d'intention avec moi. Adieu, je vous embrasse tous ensemble, et chacun en particulier, dans la charité du Très Saint Coeur de Marie.


Sources : ND 8- pp. 191-192
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 22-10-1846
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. Paupart,

10467 Mon silence n'est pas venu précisément du défaut de succès, mais plus particulièrement d'un surcroît de travail qui me pressait de tous côtés et de la malheureuse migraine qui s'amusait à me contrarier. Ces occupations multipliées m'ont aussi empêché de répondre tout de suite à votre lettre, mais enfin après avoir fait attendre, m'y voilà.


Sources : ND 8- pp. 323
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 07-08-1846
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Blanpin,

10468 Ma santé est très bonne, même meilleure que toute l'année qui vient de s'écouler à La Neuville. Tâchez de vous bien porter, vous aussi. J'espère que les eaux vous calmeront les nerfs. Du reste, mettez votre confiance en Jésus et Marie, et tenez-vous comme un enfant abandonné entre leurs mains. Adieu, cher frère et enfant. Tout à vous en Jésus et Marie.


Sources : ND 8- pp. 218
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 08-12-1846
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : , Supérieure de Castres

10469 Une maladie qui me retient au lit, m'a fait interrompre ma lettre à cet endroit.


Sources : ND 8- pp. 382
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 18-05-1847
Titre : Je viens d'avoir un rude assaut
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. Dat,

10470 Mon bon et cher confrère, Je vous écris ce petit mot pour vous demander grâce pour dix ou quinze jours. Je viens d'avoir un rude assaut qui a duré huit à dix jours. Je ne sais si c'était ma chère migraine ou quelque autre ami qui lui ressemble. Le fait est que je fus bien pris. Je suis encore très faible et incapable de travailler. Cela va me mettre en retard pour une huitaine. Il faut bien que vous y soyez pour votre petite part. En attendant que je vous écrive plus au long, priez pour moi. Je ne vous oublierai pas non plus comme vous le pensez bien. Je recommande à vos prières une Suvre importante. Je vous embrasse en la charité de Jésus et Marie.


Sources : ND 9- pp. 144-145
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 14-08-1849
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : P. Lannurien, Directeur au Séminaire du Saint-Esprit

10471 J'arrive à Nancy dans un état de santé excellent. Je me crois enfin à peu près guéri. Nous allons partir dès ce soir pour Charmes, où nous passerons la fête de l'Assomption.


Sources : ND 11- pp. 152
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 02-10-1849
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Julie Libermann,

10472 "Ma bonne sSur, Vous avez sans doute cru que je vous avais oubliée, et voilà bien longtemps que je ne vous ai donné signe de vie; mais vous ne saviez sans doute pas la longue maladie par laquelle j'ai eu à passer. Elle a duré cinq longs mois pendant lesquels je ne pouvais absolument rien faire, ni m'occuper de rien, ce n'était que maladie, commencements de convalescences et rechutes; mais enfin me voilà guéri, mais accablé de travail que j'étais obligé de laisser en arrière pendant ce temps si long où je ne pouvais m'occuper de rien."


Sources : ND 11- pp. 162
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 02-10-1849
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. Faveau, Préfet Apostolique de Martinique

10473 "Monsieur le Préfet Apostolique, Dieu m'ayant éprouvé cette année par une longue et douloureuse maladie, je me suis vu dans la nécessité de négliger et même d'omettre la correspondance avec les colonies, et cela à mon grand regret. Arrivé au Séminaire du Saint-Esprit en décembre, je n'ai été en bonne santé que quelques mois. Depuis Pâques j'ai été hors d'état de m'occuper d'affaires et je ne suis guéri que depuis quelques jours. Veuillez donc m'excuser de l'apparente négligence que j'ai mise à entretenir la correspondance avec vous depuis la première lettre que j'ai eu l'honneur de vous adresser. Veuillez aussi dire aux ecclésiastiques de la Martinique qui désireraient entretenir quelques relations avec moi que désormais je serai tout à leur disposition, et ils me trouveront tout dévoué à ce qui peut leur être utile. Cette maladie m'a profondément affligé, je voyais nos pauvres colonies dans le triste état où elles sont encore, et je ne pus faire un pas, ni écrire une ligne en leur faveur, tenu comme je l'étais par la maladie. Mais, il est vrai que toutes mes démarches eussent été infructueuses; je m'en suis aperçu par le résultat de celles que j'ai faites depuis mon retour à la santé et vers la fin de ma maladie. Je vous avoue que mon âme était inondée de douleur en voyant si peu d'effets de toutes mes démarches. Cependant, j'ai la confiance que Dieu vous tirera bientôt du labyrinthe où se trouve le clergé colonial. Ayons confiance, la divine Bonté n'abandonnera pas tant d'âmes à la perdition. M. Pécoul et M. Bissette nous seront désormais d'un grand secours. Je m'entendrai avec eux."


Sources : ND 11- pp. 159-160
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 11-10-1849
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Mgr Kobès,

10474 "Monseigneur, Vous me croyez mort, sans doute, et à juste titre, ne recevant pas une ligne de ma main depuis si longtemps. Je suis cependant guéri, mais ce n'est que depuis très peu de jours, et c'est l'Alsace qui m'a remis sur pied. Je vous ai fait écrire par M. François, étant hors d'état de le faire, à cause de la multitude des rechutes que je faisais sans cesse. Je vais donc vous écrire une longue lettre maintenant. 1° La dernière lettre que je vous ai adressée, a été écrite dans un moment de convalescence; je comptais vous écrire encore une fois peu de temps après, mais la rechute que j'eus trois ou quatre jours après, y mit obstacle et me rejeta jusqu'aujourd'hui."


Sources : ND 11- pp. 174
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 07-06-1847
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Mgr Truffet,

10475 Il y a longtemps que je désirais vous écrire, j'attendais, parce que je ne pouvais faire autrement, ayant été bien maltraité ce printemps par ma chère migraine. Enfin, ça va mieux.


Sources : ND 9- pp. 163
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 07-06-1847
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Mgr Truffet,

10476 "J'aurais bien désiré vous envoyer l'écrit que je vous ai promis, mais j'ai été si maltraité par les misères corporelles depuis votre départ, qu'il m'a été physiquement impossible de le commencer. Il y a un peu de ma faute; je n'ai pas pris assez de soin du misérable corps que je traîne sur cette terre. J'ai mal fait, je prends désormais plus de précautions, je suis un régime plus substantiel. Il me coûte tant de faire autrement que la communauté! Maintenant qu'y ai-je gagné? Au lieu de bière, je suis au vin de Bordeaux avec de l'eau de Seltz, etc.... ; mais ça va mieux; je me remets et désormais je vais être plus fidèle, et je serai bientôt en état, j'espère, de suffire à tout ce que je vous dois, et à ce que je dois à tous nos chers confrères."


Sources : ND 9- pp. 168
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 27-12-1846
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : , Communauté du Gabon

10477 "Cette fois-ci... j'eus un grand rhume par une circonstance extraordinaire; le médecin me condamna au lit et à la désoccupation. Je perds ainsi environ trois semaines. Me voilà guéri parfaitement depuis quelques jours... "


Sources : ND 8- pp. 388
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 23-07-1847
Titre : Mes migraines continuelles
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Mgr Luquet,

10478 Depuis longtemps, des migraine continuelles m'obligent de dicter mes lettres, qui sont un peu de longue haleine...


Sources : Compl.- pp. 95-96
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 03-07-1847
Titre : Je commence à sentir un peu de mes migraines
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Mgr Truffet,

10479 Je n'écris pas aux chers confrères par cette occasion de peur de retarder le paquet, qui déjà est en retard. Nous attendons de vos nouvelles avec impatience. Je pense qu'elles ne sont pas loin de nous en ce moment. Je commence à sortir un peu de mes migraines. J'espère aller mieux désormais. Cette lettre cependant est un peu en désordre, parce que je l'ai écrite trop à la hâte et à bâtons rompus. Adieu, Monseigneur, je vous embrasse avec toute l'effusion de mon coeur dans la charité de Notre-Seigneur Jésus-Christ, et suis votre tout pauvre et vivement affectionné serviteur.


Sources : ND 9- pp. 225
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 03-11-1849
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : , Cardinal Préfet

10480 ... Une maladie longue et douloureuse m'a mis hors d'état de m'occuper d'aucune affaire sérieuse, depuis la fin d'avril jusqu'au mois d'octobre. Je prie donc Votre Eminence Révérendissime de me pardonner ce retard...


Sources : ND 11- pp. 226
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 28-12-1849
Titre : Ma maladie n'a pas laissé de suite
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Le Vavasseur,

10481 "Vous seul me paraissez l'homme que Dieu a destiné à cette Suvre. Il serait bon d'ailleurs que vous soyez là en cas de mort. Cependant, je dois vous dire, pour vous tranquilliser, que ma maladie n'a pas laissé de suite; elle pourrait bien revenir, mais elle ne renferme pas un principe de maladie mortelle. C'est une affection au foie qui serait à craindre, mais sans danger."


Sources : ND 11- pp. 325
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 28-12-1849
Titre : Ma santé se soutient
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Le Vavasseur,

10482 Ma santé se soutient au milieu d'un travail de galérien...


Sources : ND 11- pp. 324
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 28-06-1847
Titre : Mais des migraines continuelles
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Le Vavasseur,

10483 "Il faut vous adresser ce petit mot par la poste, quoiqu'il ne s'y agisse que d'une bagatelle. J'aurais dû vous l'écrire, le jour ou le lendemain du départ du P. Blanpin; mais des migraines continuelles m'en ont empêché."


Sources : ND 9- pp. 208-209
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 20-08-1847
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. Lambert,

10484 "Vous êtes bon de vous contenter de petites lettres; j'ai besoin qu'on ait un peu compassion de mes misères et qu'on ne me demande pas trop à la fois. J'espère que, plus tard, je pourrai en faire davantage. Je ne suis pas encore aidé assez pour pouvoir suffire à tout, surtout avec des migraines très fréquentes qui, me promet-on, doivent cesser dans trois ou quatre ans, c'est-à-dire quand, par le secours de Dieu, nous aurons assez de monde pour faire la besogne, tandis que, maintenant qu'elle m'accable, il faut encore porter ma misérable migraine qui, dans certains cas, m'empêche de travailler de chaque semaine la moitié et parfois davantage, et qui en tout temps m'oblige à travailler d'une manière peu continue."


Sources : ND 9- pp. 256
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 02-08-1847
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : P. Briot,

10485 "Ne m'en voulez pas que je vous écrive trop peu à la fois. Mes migraines sont devenues très fréquentes. Elles me donnent bien des tracas, parce qu'elles m'empêchent d'écrire longtemps de suite. Il paraît que la migraine prend ordinairement un certain accroissement et au bout de quelque temps elle diminue et disparaît enfin. On m'assure que, chez moi, elle est à sa dernière période et que bientôt elle décroîtra; dans deux ou trois ans, j'en serai délivré, dit-on. Ainsi, patientez avec un pauvre homme. Ecrivez-moi de longues lettres et contentez-vous, en attendant, de petites. Soyez sûr que je ferai toujours tout ce qui dépendra de moi pour vous consoler et encourager."


Sources : ND 9- pp. 245-246
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 28-07-1847
Titre : Ma chétive migraine
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. Beauchef,

10486 Comme je suis en retard avec vous! Heureusement je connais votre charitable indulgence et vous connaissez ma chétive migraine surtout, qui m'empêche souvent de faire ce que je souhaiterais, sit nomen Domini benedictum! Je suis bien fâché, non pas d'être allé à Rome, mais...


Sources : ND 9- pp. 235
Réf-bible :
Remarque : Voir la suite.
 


  Date : 01-02-1849
Titre : La première migraine? sérieuse à Paris
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : S?ur St Léopold,

10487 Ma chère et bonne SSur Léopold, Il m'a bien coûté de mettre un si long retard à répondre à votre lettre du 20 janvier, vous voyant dans la peine, mais une migraine impitoyable m'empêche de vous écrire depuis trois jours. C'est la première migraine sérieuse que j'ai eue à Paris.


Sources : ND 11- pp. 26
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 08-05-1849
Titre : Ma santé va beaucoup mieux
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Mme Félix Libermann,

10488 "... j'espère être de retour à Paris le dimanche de la Pentecôte; ma santé va beaucoup mieux, je ne suis plus en danger de retomber."


Sources : ND 11- pp. 122
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 12-06-1849
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Samson,

10489 "Mon cher frère et ma chère sSur, Je me presse de vous adresser ce petit mot pour vous rassurer sur l'état de ma santé. Je suis enfin en état de vous écrire; la fièvre m'a quitté depuis quelques jours et ma convalescence va bon train... Voilà environ deux mois que je suis pris. J'espérais me remettre dans mon premier voyage à Angers et à Tours. J'y ai passé environ quinze jours, et n'y ai pas gagné beaucoup, le temps de la convalescence n'était pas arrivé. Le jour de mon départ de Tours, je fus pris par une colique d'estomac qui passa dans la matinée; je crus cependant devoir me rendre à Paris à cause des inquiétudes que la fin de l'Assemblée nationale donnait alors. Je craignais une émeute et je voulais être à la maison pour le cas d'événements. Arrivé à Paris la veille de la Pentecôte à 9 heures du soir, et le lendemain après-midi je fus obligé de me mettre au lit pour dix jours, encore avec coliques d'estomac, du foie et mal dans toutes les parties du dos. Au bout de ce temps je me remis un tant soit peu, mais j'étais en tel état qu'il n'y avait pas d'espoir de me remettre au milieu des fortes chaleurs de Paris et de l'air empesté qui y régnait. Je partis de nouveau et me rendis en Basse-Normandie, dans une maison de campagne des parents d'un de mes confrères où je vais passer huit à dix jours; puis je vais faire un voyage dans le midi de la France jusque vers la fin d'août. Soyez désormais sans inquiétude j'éviterai tous les lieux où règne le choléra. A peine étais-je hors de Paris, je n'avais pas fait dix lieues en chemin de fer, que déjà un mieux sensible se fit sentir et je pus prendre un peu de nourriture. En ce moment, je mange de la viande midi et soir et la digestion se fait bien. J'espère être entièrement remis avant quinze jours. J'écris très mal, non par faiblesse, mais parce que je suis pressé, le facteur attend ma lettre. Soyez sans inquiétude, je n'ai pas été si bien portant depuis deux mois. Tout à vous en Jésus et Marie."


Sources : ND 11- pp. 126-127
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 12-06-1849
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Samson,

10490 "Ma bonne et chère Marie, Je vous ai laissée bien longtemps dans l'inquiétude, mais je ne pus guère faire autrement, j'étais hors d'état d'écrire. J'étais en danger à Paris dans ces derniers temps; le médecin me dit de me presser de quitter, et je suis parti le 5. Je suis encore pour quelques jours ici dans une maison de campagne, où ma santé se remet à vue d'Sil. Je vais y passer trois ou quatre jours, et puis je ferai un grand tour dans le midi. J'éviterai tous les lieux où se trouve le choléra; soyez donc tranquille. Je suis bien maintenant, la digestion commence à se faire et les forces reviennent. Ma maladie n'était pas le choléra, mais j'étais en danger d'avoir cette maladie si j'étais resté encore quelques jours à Paris; mais enfin je crois que le bon Dieu n'a pas encore voulu de moi. C'en est assez pour cette fois-ci, il faut terminer; le facteur attend ma lettre et dans une maison isolée, à la campagne, on n'a guère d'autre moyen d'envoyer une lettre à la poste que par le piéton qui passe. Il paraît que vous avez écrit à Paris, on ne m'a pas envoyé votre lettre. J'y réponds sans en connaître le contenu. Je viens d'écrire aussi à vos parents une lettre un peu plus détaillée."


Sources : ND 11- pp. 127-128
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 13-06-1849
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Mgrs Bessieux et Kobès,

10491 "Je vous écris à tous deux ensemble, n'étant pas encore assez fort pour écrire trop à la fois. Je ne vous adresse cette petite lettre que pour vous rassurer, vous et nos chers confrères, sur ma position et sur celle de nos deux maisons. Je vous dirai d'abord que le choléra qui a sévi avec une violence extrême à Paris n'a pas pénétré dans notre maison. Nous avons perdu M. Musson par une fièvre typhoïde. Le choléra est à Amiens, mais notre maison du Gard est saine et sauve. L'épidémie est enfin en décroissance et j'espère que la divine bonté nous préservera désormais du fléau. Maintenant, pour moi, j'ai fait une rude maladie qui dure depuis deux mois et m'a mis hors d'état de m'occuper de quoi que ce soit et plus encore d'écrire. Il y a eu des moments où j'étais en danger. Le mal a commencé par une fièvre pernicieuse; je me suis relevé et ai fait une quasi convalescence; puis j'ai fait une rechute avec des coliques d'estomac très violentes et des points du côté du foie. Notez que ceci arriva au moment où le choléra était à son plus fort, par suite des chaleurs tropicales que nous avions à Paris; nous avions35 à 40 degrés centigrades à l'ombre. Je n'étais pas bien en sûreté dans cet état de choses, car toutes les maladies dégénéraient en choléra et le plus souvent en choléra foudroyant. Cependant, j'étais relevé de cette rechute et la convalescence semblait commencer depuis un ou deux jours, lorsque je fus menacé d'une seconde rechute, et les entrailles se détraquaient de plus en plus. On me renvoya donc et je me rendis dans une maison de campagne des parents de M. Levavasseur où l'on prend de moi le plus grand soin. Voilà un peu plus de huit jours que j'y suis, et depuis six jours la fièvre m'a abandonné, l'estomac se remet peu à peu, je puis dire que je suis guéri. Je ne retournerai à Paris qu'étant complètement rétabli."


Sources : ND 11- pp. 128-129
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 25-07-1849
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Mgr Sibour,

10492 Monseigneur, Mes confrères du Séminaire du Saint-Esprit m'ont fait connaître que Votre Grandeur paraît étonnée de nous voir si en retard pour l'accomplissement de ce qu'Elle a réglé touchant l'affaire de nos Constitutions. Je serais profondément affligé, Monseigneur, si vous pouviez croire que ce retard provenait de mauvaise volonté de notre part. Depuis trois mois, je me trouve absolument hors d'état de m'occuper d'aucun objet sérieux par suite d'une maladie qui, depuis lors, ne m'a laissé aucun repos. Je me vois en pleine convalescence, et j'espère qu'avant quinze jours je pourrai répondre aux intentions de Votre Grandeur. J'aurai l'honneur de lui faire parvenir une copie de la lettre que je dois adresser à la Propagande, lettre qui, j'espère, sera conforme à vos désirs. J'ose espérer, Monseigneur, que vous voudrez bien m'accorder ce petit espace de temps, nécessaire encore au rétablissement d'une santé délabrée par une si longue maladie. Daignez agréer...


Sources : ND 11- pp. 136-137
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 13-10-1847
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. Dat,

10493 "Il faut avoir du courage pour oser répondre à une lettre datée de cinq mois; mais ce courage, je l'ai, parce que je vous aime et que je suis affligé de vous avoir causé le chagrin de vous faire croire que je ne voulais pas vous répondre ou que je vous ai oublié. Non, mon bien-aimé frère, il n'en est rien, je vous assure que je vous suis ce que je vous ai toujours été. Ne m'en voulez pas, et si vous avez eu de la peine par la pensée que je manque de charité à votre égard et que je n'ai plus pour vous l'affection sincère que je vous portais; si je puis vous consoler en vous assurant du contraire, vous devez vous consoler. Soyez, au contraire, rempli de sentiments compatissants pour un pauvre homme qui vous négligerait avec peine, mais qui a été obligé de négliger tant d'autres choses! L'été dernier a été pour moi l'époque la plus dure sous le rapport de la santé. La force et la continuité de mes migraines étaient telles que je n'en avais jamais éprouvé de pareilles. Je crois que c'était son dernier feu et que désormais je vais être soulagé, je vais pouvoir m'occuper plus sérieusement des affaires. Pendant trois ou quatre mois, je ne pouvais m'occuper que des choses les plus pressées, et encore étais-je obligé tantôt de dicter, tantôt de faire écrire par un autre et de signer seulement. Je ne vous donne pas les détails pour me plaindre de la divine Providence, ni même pour m'excuser auprès de vous, mais pour que vous n'ayez pas de peine. Maintenant ça va mieux, beaucoup mieux depuis environ deux mois. Je vais maintenant vous écrire, ayant eu trop d'occupations pressées jusqu'à ce jour. Un grand nombre de choses sont encore arriérées; avec la grâce de Dieu, j'en viendrai à bout. Je vais prendre votre lettre article par article. 1° Votre santé, j'espère qu'elle se rétablira de plus en plus."


Sources : ND 9- pp. 280-281
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 01-02-1848
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Samson,

10494 "Je pense que le régime que je suis me fait du bien. Il me faut des toniques pour l'estomac et des forces pour soutenir le travail. Je prends peu de nourriture, mais ce que je prends est très substantiel. Ma boisson consiste en vin et eau de seltz. Je me suis procuré un appareil pour faire cette eau gazeuse à la maison. Par ce moyen, elle revient à cinq ou six centimes la bouteille. Mes migraines ont diminué considérablement depuis le commencement de l'hiver. Je pense que la chaleur de l'été va les ramener. A la volonté de Dieu! S'il veut me les rendre, je les reprendrai, et je m'en tirerai avec elles le mieux que je pourrai. Pour le moment, je jouis d'une parfaite santé. Tu peux donc être tranquille à mon sujet. Quant au travail, voici ce qui en est : le travail me fatigue beaucoup. Le premier effort de cette fatigue se porte au cerveau et le contrecoup se fait sentir à l'estomac. Une réflexion grave et sérieuse ne me fatigue pas, elle ne demande pas de moi une force astriction, mais deux choses principales me font du mal : 1° la multiplicité variée et entrecoupée. Dans ce sens, tu as raison de dire que les petits détails ne valent rien; aussi, me suis-je déchargé de ces petits détails d'administration; mais il me reste une multitude de petites choses qu'il m'est impossible pour le moment de ne pas faire, ce qui fait de fréquentes interruptions, et donne une variété d'occupations. Je pense que cet état de choses durera encore deux à trois ans. Le second genre de travail qui me fatigue, c'est la multiplicité des occupations pressées, parce que, dans ces circonstances, je ne puis prendre des intervalles de repos. Ne crois pas que je présume de mes forces. Non, je sens bien que j'ai besoin de ménager ma pauvre tête qui ne fait guère que traîner. Cependant, je crois bien certainement que je m'en tirerai. D'ici deux à trois ans, je parviendrai à me débarrasser de la menue besogne qui entrecoupe tant mon travail et me met quelquefois à la presse. Pour le reste, c'est-à-dire l'administration générale et le travail sérieux, je ne le crains pas; le plus souvent, cela me repose. Je ne suis guère fortement appliqué, de manière à me fatiguer, que lorsqu'il faut faire une composition qui demande un style soigné; encore ai-je moins de peine que les années précédentes; l'habitude s'en formera peu à peu. Ainsi tu vois que tu peux être tranquille à mon sujet. D'ailleurs la bonté divine ne m'abandonnera pas. Dans ce moment, je ne puis me soulager, je suis un pauvre galérien qui traîne son boulet le mieux qu'il peut. Je me résigne à mon sort et je suis heureux de souffrir au moins quelque chose au service de Dieu; autrement, comment pourrais-je arriver au Ciel?"


Sources : ND 10- pp. 47
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 25-07-1848
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. Arragon,

10495 "Mon cher confrère, Je viens d'être surpris par une subite indisposition, et le médecin me défend toute occupation. De là, il m'est impossible d'écrire à nos bons confrères; dites-leur que j'en suis bien fâché. Ils pourront entendre la lecture de ma lettre à la communauté. Tout à vous en Jésus et Maire. Ce billet est sans date : le P. Philippe Kieffer la rapporte au 25 juillet 1848, probablement. Il ajoute : ne peut être postérieure à cette date."


Sources : ND 10- pp. 275
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 11-08-1849
Titre : Je suis toujours malade
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Mgr Kobès,

10496 "Monseigneur, Je suis toujours malade!... je ne puis vous écrire comme je le désirerais. Que la sainte volonté du Bon Dieu se fasse! Le lendemain du jour où je vous écrivais, je faisais une nouvelle rechute, puis une autre à Bayeux où j'ai été retenu plus de trois semaines au lit. M. François état avec moi. Dix jours passés ensuite sur le bord de la mer, me donnèrent un peu de force; je pouvais me promener, m'occuper même, enfin je crus pouvoir revenir à Paris, quelques jours au moins, pour les affaires les plus pressées; mais je ne songeais guère que le Bon Dieu m'y voulût encore mettre au lit en arrivant. Il y aura demain trois semaines de notre retour. Je vais mieux de nouveau, et nous voulons bien croire et espérer que je suis guéri, et qu'il ne me reste plus qu'une longue convalescence à bien ménager. Dans ce but, je pars pour Strasbourg demain, et si le Bon Dieu ne me ramène bien portant et fort, je ne sais vraiment comment je pourrai suffire à la masse des affaires de ma charge. Grâce à Dieu, rien n'a souffert de ma maladie, tout va asse bien ici, de même qu'au Gard et à Bordeaux; mais craignant pour l'avenir que je sois arrêté, je presse M. Le Vavasseur de venir bien vite à mon aide; je pense qu'il ne tardera pas."


Sources : ND 11- pp. 149
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 23-04-1850
Titre : Votre fièvre de Guinée vient jusqu'ici
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Mgr Kobès,

10497 Quant à M. Durand, je ne puis lui écrire, car votre fièvre de Guinée vient jusqu'ici et me tient depuis quinze jours. Je suis heureux de la partager avec vous. C'est pour ce même motif que je me sers de M. Le Vavasseur pour écrire sous ma dictée. J'écrirai prochainement à M. Durand dans le sens que vous désirez.


Sources : ND 12- pp. 167
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 13-06-1849
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Mgrs Bessieux et Kobès,

10498 ... je suis encore trop faible...


Sources : ND 11- pp. 129-130
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 29-09-1848
Titre : Une migraine de plusieurs jours
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. Dat,

10499 Une migraine de plusieurs jours a retardé ma réponse à votre lettre...


Sources : ND 10- pp. 311
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 13-12-1847
Titre : J'étais indisposé
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : P. Clair,

10500 "Je n'ai pas répondu à votre lettre du 15 novembre parce que j'étais indisposé; il m'était défendu de m'occuper de toute affaire sérieuse. C'était le seul motif et non l'embarras de la décision... "


Sources : ND 9- pp. 368
Réf-bible :
Remarque : Voir la suite.
 


  Date : 01-07-1848
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Samson,

10501 "Ici nous allons bien : nous sommes aussi nombreux que nous l'étions avant la révolution. Je suis toujours très occupé. Ma santé va bien; mes migraines ont diminué considérablement. J'ai à prendre des précautions contre les coliques. Je crois avoir remarqué que le kirsch me fait du bien. J'en prends après les repas lorsque je m'aperçois que ces vilaines coliques allaient venir, ce qui est rare, mais de temps à autre. La petite bouteille que ma bonne sSur m'a envoyée par la dernière occasion m'a suffi jusqu'à présent : elle m'a fait du bien mais je n'en aurais plus guère que pour cinq à six fois. Je te préviens donc de m'en procurer deux litres et de me l'envoyer par occasion, ou par diligence, s'il n'y a pas d'occasion prochaine. Mes amitiés affectueuses à toute la chère famille. A Dieu, tout à vous. P.S. Il suffirait peut-être, pour le moment, d'une bouteille de kirsch : il se trouve si souvent des occasions."


Sources : Compl.- pp. 111
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 08-08-1848
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. Bessieux,

10502 "M. le Supérieur est toujours accablé d'ouvrage; aujourd'hui il est très enroué; je crois qu'il a un peu de grippe. Demain, il va consulter M. Léger à Amiens; généralement il ne s'est pas trop mal porté depuis votre départ."


Sources : ND 10- pp. 283
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 15-05-1849
Titre : La maladie de M. le Supérieur nous a alarmés
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Samson,

10503 "Votre coeur est trop affligé pour que je ne me hâte pas d'y verser une consolation. Si Dieu nous a enlevé un bon frère et s'il en a touché un autre, vous trouverez dans le simple récit de tout ce qui s'est passé un sujet de bénir Dieu. Oui, la maladie de M. le Supérieur nous a alarmés, mais il faut si peu pour troubler le bonheur d'une famille! M. le Dr Laville, médecin de la maison, n'eut pas longtemps des craintes sérieuses, et M. Cruveilher, appelé en consultation, approuva entièrement le traitement prescrit par son confrère et confirma les espérances données. M. le Supérieur était entré en convalescence depuis quelques jours; les intermittences de sa fièvre duraient plus longtemps et les accès étaient moins intenses ou même quelquefois à peine sensibles, lorsque son médecin lui conseilla de ne pas différer plus longtemps un voyage projeté. Les choses en étaient là, lorsqu'un billet de la min d'Eugène (Eugène Libermann, fils de Félix) fut remis à la porte de notre maison, pour inviter M. le Supérieur à passer dans la journée chez son frère. C'était le 8 mai. J'allai donc rue Mazarine avec M. le Supérieur, dans l'après-midi. Il ne put causer à son aise avec son pauvre frère, car depuis les 2 heures du matin que le mal s'était fait sentir, ses progrès avaient été extrêmement rapides. Je demandai et j'obtins de passer la nuit près du cher malade, pour lui rendre tous les services qu'il serait en mon pouvoir de lui offrir. Mme Libermann, si chrétienne toujours et dont l'amour n'égara pas la foi en ces douloureuses circonstances, prépara elle-même son mari qui, du reste, conservait un grand sang-froid et une entière liberté d'esprit au milieu de douleurs atroces. M. l'abbé Haubeneck, directeur habituel de M. Libermann, vint à deux reprises voir son ami, car c'en était un pour lui, et essaya en vain de lui faire terminer une confession commencée quelques jours auparavant; mais il ne le quitta pas néanmoins sans lui accorder l'absolution sacramentelle dont il témoignait le désir par des signes et l'expression de sa physionomie. ... J'oubliais de vous dire que la secousse qu'avait prouvée M. le Supérieur, pendant l'entrevue qu'il avait eue la veille avec son pauvre frère, avait été si forte que nous avions comme exigé de lui qu'il partirait le lendemain. Il s'était, à son retour, mis au lit avec un accès de fièvre. Il avait veillé toute la nuit en demandant au bon Dieu que ses vues adorables s'accomplissent sur toute la famille, et quand je me fus dérobé, vers 4 heures du matin, au spectacle si touchant et si admirable qu'offrait aux yeux de Dieu et de son prêtre l'intérieur de cette chambre où la mort avait déjà un pied, je trouvai ce bon Père de nos âmes disposé à tout recevoir avec une égale paix de coeur; c'est surtout en ces circonstances si douloureuses pour les autres, que Dieu nous fait sentir combien il habite profondément son âme. J'eus le temps de dire la sainte messe, pour obtenir aussi un plus parfait accomplissement des vues secrètes de la Providence sur cette famille qui allait être éprouvée d'une manière à laquelle notre sagesse humaine ne sait pas encore consentir. M. le Supérieur se leva et revint avec moi auprès du pauvre malade, qui ne put pas seulement lui répondre une seule parole; ils se touchèrent la main : c'était un adieu pour la vie... M. le Supérieur frissonnait, on l'entraîna dans la voiture qui l'attendait à la porte et il se dirigea en toute hâte avec un confrère, M. Boulanger, son compagnon de route, vers l'embarcadère du chemin de fer de Tours. M. Le Supérieur m'a écrit que sa fièvre le quittait peu à peu, mais non pas entièrement; il a déjà pu néanmoins offrir le saint Sacrifice de la Messe pour le repos de l'âme de votre bien-aimé frère et le sien. Il a dû écrire depuis lors à Mme Libermann. Rassurez-vous entièrement à son sujet ainsi que nous nous rassurons nous-mêmes ici. En lui écrivant, veuillez adresser vos lettres ainsi : M. Libermann, Supérieur S. Sp., Au Bon Pasteur, Angers. Les attentions les plus délicates ne lui manquent pas de la part de toutes les personnes, qui l'attendaient depuis longtemps. Il a même l'air de s'en émerveiller avec son ingénuité enfantine de bon saint."


Sources : Compl.- pp. 130-132
Réf-bible :
Remarque : de la part du P. Alphonse H. Morel Lydrel
 


  Date : 29-03-1849
Titre : La maladie de notre cher Père
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Lossedat,

10504 "Je suis heureux d'avoir à terminer, d'une manière telle quelle la lettre de notre bon et vénéré Supérieur, puisqu'elle me fournit l'occasion de vous offrir l'expression de mes sentiments de très respectueuse fraternité dans l'Esprit-Saint et le Coeur sans tâche de Marie (Aujourd'hui, nous recevons l'Encyclique du Très Saint Père le Pape Pie IX, par laquelle il prononce sur l'Immaculée Conception de cette bonne Mère). Mais j'ai regret que ce soit pour cause de maladie de notre cher Père que je suis obligé de vous écrire. Comme le choléra sévit avec assez de force autour de nous dans quelques hôpitaux et dans quelques pauvres quartiers, nous n'avons pas été sans de graves inquiétudes : mais aujourd'hui tout se réduit à de la faiblesse, nous en avons été quitte pour la peur. Je pense que M. le Supérieur vous a donné les nouvelles capables de vous intéresser : nos deux évêques Bessieux et Kobès; leur départ le 17 février, avec six prêtres, trois Frères et six SSurs de Castres; et le prochain envoi probable de trois autres missionnaires, desquels le bon P. Boulanger; l'état prospère de nos deux maisons de Paris et du Gard; l'Suvre de Bordeaux et le bien que la présence des évêques va produire dans nos colonies : je ne vous en dirai donc rien."


Sources : ND 11- pp. 95
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 10-05-1849
Titre : La maladie de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10505 Le synapisme de Libermann


Sources : ND 11- pp. 126, 592
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 10-05-1849
Titre : La maladie de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10506 Le choléra de 1849 à Paris


Sources : Compl. 143-144- pp.
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 27-07-1849
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. et Mme Levavasseur,

10507 Me voilà en état de vous adresser un petit mot de ma main. Vous avez appris par M. François, ma nouvelle rechute à Bayeux, rechute plus fâcheuse que toues les précédentes. Les MM. du séminaire ont eu tant de bonté pour moi et m'ont prodigué tant de soins que j'ai dit souvent à M. François que je n'aurais pas été mieux traité chez M. Levavasseur. Cependant vos bons soins ont été tels que je les oublierai jamais. J'ai eu passablement à souffrir dans cette nouvelle maladie : des vomissements opiniâtres donnaient beaucoup à craindre. On en vint à bout par le moyen de la glace dont on me fit prendre 50 livres dans l'espace de six jours. Je fus à la diète la plus rigoureuse pendant quinze jours, ensuite au bouillon de veau pendant trois jours, puis à de faibles potages pendant trois autres jours et ce n'est qu'au bout de trois semaines qu'on me donna un peu de poisson, une fois par jour. Vous pouvez penser combien j'étais faible. On a fini par m'envoyer à Arromanches pour regagner la santé au bord de la mer. L'air de la mer m'a fait du bien et je suis à peu près remis. Je vais partir aujourd'hui, je me rendrai à la Délivrande rendre grâce à Dieu et à Marie. Soyez sûr que vous, et votre bonne famille, vous ne serez pas oubliés. Je serai à Paris samedi matin.


Sources : ND 11- pp. 139
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 16-09-1849
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Samson,

10508 "Quant à moi j'ai eu quelques petites misères très légères en route, qui n'ont eu aucune suite; je vais bien maintenant, et j'espère que les huit ou dix jours que j'ai encore à passer au Gard vont me remettre entièrement. M. François sera chargé de vous transmettre les détails sur notre voyage; mais comme il est à Paris maintenant, cela ne se fera que dans quelques jours d'ici."


Sources : ND 11- pp. 157
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 16-08-1849
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Samson,

10509 "Mon cher frère et ma chère sSur, Vous allez être surpris de recevoir de moi une lettre datée des Vosges; c'est que je suis en route pour venir vous voir. C'est sans doute notre bonne Marie qui a prié et il fallait bien faire ce qu'elle voulait. Les médecins m'ont engagé à aller prendre mes vacances à l'air natal. Je suis à peu près remis. Je vais demain matin à Saint-Dié où j'arriverai vers trois heures. Je pense y rester la journée et partir samedi pour Strasbourg. On me dit que la diligence part le soir de Saint-Dié et arrive le matin à Strasbourg : dans ce cas, j'y serai dimanche matin. Il serait possible que je quitte Saint-Dié dès vendredi et j'arriverais samedi. Tout à vous en Jésus et Marie."


Sources : ND 11- pp. 154
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 20-06-1849
Titre : Je ne puis vivre longtemps
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Le Vavasseur,

10510 Il me paraît clair qu'il vous destine pour être le soutien de cette Suvre. Vu la faiblesse de mon tempérament, je crois que je ne puis guère vivre longtemps, et nous avons besoin de vous...


Sources : ND 11- pp. 133
Réf-bible :
Remarque : Voir la suite.
 


  Date : 01-06-1850
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : , Directeur des Colonies

10511 Une indisposition m'a empêché de répondre plus tôt aux deux lettres que vous m'avez fait l'honneur de m'adresser...


Sources : ND 12- pp. 216
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 27-04-1850
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : S?ur Ste Agnès,

10512 "J'allais vous répondre le 5 de ce mois après avoir écrit à la chère SSur Saint Léopold; une fiévrotte m'en empêcha; elle ne voulait plus me quitter, tant elle se trouvait bien avec moi, de manière que votre pauvre lettre est restée en arrière jusqu'aujourd'hui. Ma fièvre m'a enfin laissé tranquille et je suis bien maintenant."


Sources : ND 12- pp. 171
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : ? -05-1850
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Samson,

10513 "Une petite fièvre que j'ai eue pendant environ un mois; elle est passée... "


Sources : ND 12- pp. 188
Réf-bible :
Remarque : Cf. aussi ND 12 du 27.05.1850, n° 208.
 


  Date : 23-06-1850
Titre : La mauvaise habitude d'être ? malade
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. de Goy,

10514 "Comme j'ai la mauvaise habitude d'être souvent malade, il est arrivé que je n'ai pas vu le jeune homme que votre zèle vous a porté à me recommander. Impossible maintenant de le rattraper dans le labyrinthe de Paris, bien entendu; j'ai donc un grand regret d'avoir été indisposé le jour où il s'est présenté à la maison. J'ai dit à la bonne Vierge Marie d'en avoir soin; vous savez qu'elle en est bien plus capable que moi. Cependant, si l'intérêt que vous portez au jeune homme, vous faisait désirer que je le visse, je vous prierais de vouloir bien m'écrire et me donner son adresse; par amitié pour vous, je m'emploierais volontiers à lui faire du bien par de bons conseils, etc.... Je suis avec respect et affection en Jésus et Marie. Mon cher Monsieur de Goy. P.S. - Je vous demande bien pardon au moment de fermer cette lettre, je me suis aperçu que je vous avais envoyé un commencement de lettre, à je ne sais qui. Veuillez bien le regarder comme non avenu et le détruire."


Sources : ND 12- pp. 241
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 02-02-1850
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : P. Lossedat,

10515 "Mon bien cher confrère, Vous ne sauriez croire la joie et la consolation que me causent vos lettres. Elles sont rares et courtes, mais bonnes, pleines d'affection et de charité. Que Dieu soit béni, mille et mille fois, de toutes ses bontés et miséricordes! Je n'ai pas répondu à toutes vos lettres, à cause d'une longue maladie, qui m'a mis complètement hors de combat pendant cinq mois. Ce n'était pas le choléra; cependant, cette épidémie a eu une grande influence dans cette maladie, et je n'étais pas en état de me remettre, tant qu'elle a existé à Paris. Je quittai la capitale et j'allai un tant soit peu mieux; mais cet air contagieux était plus ou moins répandu par toute la France; son centre semblait être à Paris. Le médecin m'a renvoyé trois fois de Paris, de peur que ma maladie ne dégénérât en choléra; ce qui arrivait à presque toutes les maladies, et la mienne devait me jouer ce tour plutôt qu'à tout autre. Je revins trois fois, et, toutes les trois fois, j'étais pris dès le lendemain par des coliques et des vomissements."


Sources : ND 12- pp. 53-54
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 11-03-1850
Titre : Ma dernière maladie guérie
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : P. Blanpin,

10516 "Vous deviez être bien inquiet sur mon compte, car vous m'aimez encore, malgré l'espèce d'oubli où je vous laisse, et vous savez que je vous suis trop attaché à vous tous pour supposer que c'est négligence de ma part; vous deviez donc être bien inquiet. J'espère que mes dernières lettres adressées à M. Le Vavasseur vous auront rassuré, au moins vous serez convaincu que je suis encore de ce monde. Puisque je suis sur ce chapitre, je vais en finir : voici au juste où j'en suis pour la santé. Ma dernière maladie est radicalement guérie, je le crois. Elle a duré six mois et je pense que l'épidémie y a eu une très grande influence, quoique je n'eusse eu aucun des symptômes de la maladie régnante. Je suis donc guéri, mais cette maladie m'a laissé un certain détraquement que je crois nerveux, qui me gêne pour les courses à pied dans les rues de Paris et pour les écritures. Ecrire une lettre est une affaire pour moi. Je ne puis pas non plus me livrer au travail pendant deux à trois heures après les repas de midi. C'est une grande croix pour moi. Le reste du temps et pour le reste de l'ouvrage, je vais à merveille. J'ai pris la méthode de dicter à M. François tout ce que j'ai à écrire et j'en ai énormément depuis mon retour à la santé. Je n'écris de ma propre main que les lettres confidentielles."


Sources : ND 12- pp. 117
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 02-02-1850
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : P. Lossedat,

10517 "Enfin, je me suis remis entièrement à mon retour au mois d'octobre dernier, quand le choléra a enfin lâché prise à Paris. Cette terrible maladie a fait de terribles ravages à Paris et en Picardie, tout autour de nos deux maisons. A Paris, la maladie sévissait le plus dans notre quartier. Les villages qui environnent le Gard ont été des plus maltraités. Nos confrères de Paris et du Gard visitaient les malades, et cependant pas le moindre symptôme de l'épidémie n'a paru dans nos rangs. Vous voyez combien le bon Dieu est bon pour nous. Nous allons bien tous maintenant. M. Lannurien que vous avez connu, je crois, à La Neuville, était ces jours derniers menacé d'une maladie; il en est quitte maintenant. Nous avons amené à Paris avec nous nos étudiants en théologie; mais nous allons les renvoyer au Gard, où le noviciat est resté."


Sources : ND 12- pp. 54
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 09-03-1850
Titre : Ma santé se maintient
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Dr Samson,

10519 "Ma santé se soutient; j'espère être désormais un peu soulagé dans mon travail, M. Le Vavasseur, un de nos principaux missionnaires, vient de nous arriver de l'Ile Bourbon, il m'aidera en bien des choses. Il m'apporte de bonnes nouvelles de M. Blanpin dont le larynx se porte parfaitement bien; c'est que la Sainte Vierge est bon médecin lorsqu'elle s'en mêle. Je ne puis pas encore vous donner des nouvelles de notre affaire concernant le château, elle n'est pas encore terminée et je ne sais quand nous pourrons en voir la conclusion."


Sources : ND 12- pp. 114
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 15-01-1850
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : , Préfet Apostolique de Pondichéry

10520 "Je vous suis bien reconnaissant de l'intérêt que vous voulez bien me porter; depuis le mois d'octobre dernier, ma santé est remise, il en était temps; car tout était en souffrance pendant cette maladie de cinq mois que j'ai faite. Enfin que Dieu soit béni, tout va bien maintenant."


Sources : ND 12- pp. 10
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 14-04-1850
Titre : Monsieur le Supérieur est souffrant
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Schwindenhammer,

10521 "Monsieur le Supérieur, Il ne m'a pas été possible de vous répondre hier. Je commencerai par réparer un oubli que j'ai fait. J'ai cru m'apercevoir de quelque chose dans le jeune Xavier qui me fait craindre qu'un peu de suffisance est entré en son esprit. Les succès qu'il obtient dans ses études l'y exposent. C'est une pensée que je vous communique pour que vous en fassiez ce que bon vous semblera. M. le Supérieur est souffrant; il a la fièvre depuis plusieurs jours; nous espérons qu'elle finira bientôt; elle n'est pas très forte, mais tenace. Il vous prie de vous tenir, autant que vous le pourrez, au courant des étudiants. Il ne voit pas moyen de retarder le départ pour la Guinée. Il remet à votre entière décision ce qui regarde M. Allard; il ne le connaît pas assez pour prononcer sur lui; il s'en rapportera à ce que vous déciderez là-bas."


Sources : ND 12- pp. 153
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 03-04-1850
Titre : Par pitié pour mes yeux
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Dr Samson,

10522 "4° Je n'ai pas le temps d'écrire à Théodora. J'ai reçu sa dernière lettre à Amiens et j'ai fait toutes ses commissions. Je la prie de prendre une autre fois de la bonne encre pour m'écrire, par pitié pour mes yeux. Je lis déjà très péniblement les lettres, surtout quand elles sont écrites à petits caractères; avec l'encre faible, c'est encore pire. Je vous embrasse tous et suis tout vôtre."


Sources : ND 12- pp. 140
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 27-03-1850
Titre : Ma maladie de l'an passé
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Mme Julie Libermann,

10523 Je vous prie de vous contenter d'un petit mot. J'ai éprouvé un petit commencement de ma maladie de l'an passé. Je vais passablement maintenant, mais je veux me ménager et ne pas écrire bien long. Soyez sans inquiétude, cela ne sera rien.


Sources : ND 12- pp. 207
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 24-06-1850
Titre : Ma santé s'y remet
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : ,

10525 "Je vous ai dit que j'étais dans la solitude. Je me suis retiré pour huit à dix jours dans la maison de campagne pour travailler et remettre un peu mon pauvre vieil homme qui vraiment fait comme s'il était bien vieux. Cette petite campagne est très gaie, bien solitaire et d'un bien bon air. J'y respire; ma santé s'y remet visiblement, cependant je travaille opiniâtrement pendant huit heures par jour; quatre heures consécutives le matin et autant l'après-midi; le reste pour les repas, les prières, les récréations et le sommeil. A Paris, il m'eût été impossible de travailler une heure de suite sans être très fatigué. Du reste le bon Dieu y pourvoyait ; j'étais tellement sans cesse dérangé, que je ne pus trouver trois quarts d'heure de travail. Aussi, si j'y étais resté, ma pauvre Marie aurait reçu de moi une lettre je ne sais quand. Même dans ma solitude, il fallait faire cette pauvre lettre en trop de coups, ayant été interrompu deux fois. Vous voyez que je suis un pauvre galérien, priez pour moi et soyez une bonne enfant de Dieu et de Marie. Votre oncle très dévoué. J'embrasse de coeur votre papa, votre maman et toute la chère famille. Dites à papa que je lui répondrai plus tard, touchant l'affaire Wurm. Je ne pense pas que nous puissions payer à Meinrath au delà de cinq cents francs, valeur des pièces de terre appartenant au frère Wurm. Nous verrons un peu plus tard."


Sources : ND 12- pp. 244
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 30-08-1850
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Mgr Bessieux,

10526 "Ma santé va bien maintenant, sauf de petites misères assez fréquentes qui exigent des précautions. M. Le Vavasseur, de Bourbon, est avec moi; il va rester au Séminaire de Paris dont il va être le directeur; cela me donnera la latitude de passer cinq à six mois chaque année au Gard."


Sources : ND 12- pp. 355
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 29-07-1850
Titre : Ma santé est bonne
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Marie Libermann,

10527 "Ma bonne et chère Marie, Je fus en voyage quand votre lettre m'arriva. Je vais vous répondre en peu de mots, car toutes les fois que je reviens d'un voyage ma besogne est triplée. Ma santé est bonne, vous pouvez être tranquille à cet égard. Cependant si j'en avais vu la possibilité, j'aurais compté venir vous trouver pendant ces vacances. Mais impossible, rigoureusement impossible. Je vais passer une quinzaine au Gard, puis je serai obligé de revenir passer trois semaines à Paris où j'aurai bien de l'ouvrage, mais un ouvrage moins fatigant que le courant de l'année. Je vais, en plus, faire ce qui dépendra de moi pour me retirer à notre maison de campagne où l'air est bon et me convient parfaitement. Puis je retournerai jouir de mon reste au Gard jusqu'aux premiers jours d'octobre; alors rentrée du séminaire. Ainsi donc, ma chère enfant, encore une privation imposée par la divine Providence que vous accepterez, et moi aussi, avec soumission et désir d'être agréable à Dieu."


Sources : ND 12- pp. 327
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 18-06-1850
Titre : Je suis bien fatigué
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Julie Libermann,

10528 Je ne vous écris pas moi-même parce que je suis bien fatigué depuis quelque temps, et comme toujours accablé de besogne. Je vois bien que nous ne valons rien pour vivre dans ce monde, puisque nous sommes tous deux si pauvres gens, chacun avec tant de misères...


Sources : ND 12- pp. 235
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 29-09-1850
Titre : Ma pauvre tête, que rien ne fatigue comme d'écrire des lettres
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Mgr Lacarrière,

10529 ... pour ménager ma pauvre tête, que rien ne fatigue comme d'écrire des lettres.


Sources : ND 12- pp. 380
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 05-10-1850
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Mlle Arragon,

10530 "Je suis touché de tout l'intérêt que vous voulez bien prendre à ma pauvre personne. L'an dernier avait été si dur pour mon misérable corps, qu'il a plu au Seigneur de le prendre en pitié cette année; aussi n'ai-je pas eu de maladie tant soit peu sérieuse et les petites incommodités ont-elles été moins fréquentes. Je vous prie, Mademoiselle, de vouloir bien être l'interprète fidèle de mes sentiments affectueux en Notre-Seigneur envers Mme votre mère, vos frères et vos sSurs, et veuillez me croire dans la très aimable et sainte charité de Jésus et Marie, Mademoiselle, votre très humble serviteur."


Sources : ND 12- pp. 384
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 30-08-1850
Titre : La santé de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Mgr Bessieux,

10531 Veuillez dire à nos chers confrères et Pères que je les embrasse tous dans la charité de Jésus-Christ. J'écrirai prochainement au cher M. Lossedat, je suis trop pressé pour le départ, qui aura lieu aujourd'hui même, pour avoir le temps d'écrire. J'espérais le faire ces jours derniers mais des migraines qui me tiennent depuis trois jours consécutifs, m'ont mis hors d'état de le faire. Aujourd'hui je suis heureusement un peu soulagé, sans cela je ne sais comment j'aurais pu écrire à vous-même. Je suis en la charité de Jésus et Marie votre tout dévoué serviteur.


Sources : ND 12- pp. 356
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 08-12-1850
Titre : Ma santé va bien
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Samson,

10532 Je n'ai rien de nouveau à vous dire, je ne vous écris que pour vous donner de mes nouvelles. Ma santé va bien, soyez sans inquiétude. Ce petit mouvement de fièvre dont vous a parlé M. Le Vavasseur, a été très passager et cela m'arrivera toujours au changement des saisons.


Sources : ND 2- pp. 489
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 12-11-1851
Titre : Santé de Libermann: ? étant trop fatigué
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. Lurat,

10533 "Etant indisposé, je ne puis que vous adresser un petit mot; c'est cette même indisposition qui est la cause de mon retard. Je ne doutais pas des dispositions bienveillantes de Mgr Cousseau. Si votre santé est en si mauvais état, qu'il y ait du danger que vous ne puissiez pas supporter le voyage, il vaut mieux attendre un peu, surtout s'il y a espoir d'une amélioration. Votre coeur aura toujours en attendant la consolation dont il avait besoin. J'espère que cette consolation ne contribuera pas peu à vous remettre. Je ne peux vous en dire plus long étant trop fatigué. Je vais cependant retourner demain à Paris, où il y aurait plus de facilité de me remettre. Tout à vous en Jésus et Marie."


Sources : ND 13- pp. 397
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 18-03-1851
Titre : A chaque phrase je quitte la plume, pour tenir ma tête
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : P. François,

10534 Je vous envoie ci-incluse une lettre pour nos Frères de Bourbon. Je n'ajoute pas foi aux dires sur le compte de M. Dossat. Ils me prouvent seulement que les prêtres de la Guyane sont, comme grand nombre par ailleurs, c'est-à-dire, cancaniers et peu subordonnés. Et puis l'affaire Viollot était faite pour susciter une opposition fâcheuse à M. Dossat. Je ne crois pas qu'il faille pour les assertions de M. Chaubard renoncer à la Mission et abandonner ce malheureux pays. Dites à Mme la Supérieure que désormais je la préviendrais toujours à l'avance quand je lui enverrai un missionnaire à loger. Présentez mes respects et ma reconnaissance pour l'intérêt qu'elle veut bien nous porter. Je suis obligé d'être bien bref, parce que j'ai la migraine et à chaque phrase je quitte la plume pour tenir ma tête. Vous savez ce que je vaux dans ces circonstances. Heureusement ma lettre aux Frères est faite. Mais si je ne puis vous en dire plus long, vous savez que mon coeur est avec vous en la charité de Jésus-Christ. Ecrivez-nous avant votre départ. Tout à vous en Jésus et Marie.


Sources : ND 13- pp. 78
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 30-11-1851
Titre : La santé de Libermann : les brouillards de l'automne
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Mgr Lacarrière,

10535 Veuillez vous contenter de ce petit mot, les brouillards de l'automne me brouillent la santé, j'ai de la peine à écrire. Agréez l'hommage du profond respect avec lequel j'ai l'honneur d'être, Monseigneur, de Votre Grandeur le très humble et très obéissant serviteur.


Sources : ND 13- pp. 395
Réf-bible :
Remarque :
 


  Date : 22-01-1852
Titre : La dernière maladie de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : Mgr Desprez,

10536 Notre cher Père est très souffrant...


Sources : Compl.- pp. 250-251
Réf-bible :
Remarque : de la part de Le Vavasseur. Voir la suite.
 


  Date : 01-01-1850
Titre : Les maladies de Libermann
Clé : Maladies de Libermann
Destinataire : M. Le Berre,

10537 "Il paraît que c'est chose réglée que toutes les fois que j'écris à mes chers confrères qui me sont cependant bien chers, je dois faire des excuses; car vraiment c'est désolant que jusqu'à présent, au moins depuis deux ans, je n'ai pu parvenir à me rendre exact à leur écrire selon mes désirs et les leurs. Il est vrai aussi que depuis cette époque je me suis trouvé dans une position exceptionnelle à cause de la réunion des deux Communautés qui me mettait hors d'état de trouver un loisir suffisant pour cela. L'an passé la maladie qui me prit au printemps me menant rudement jusque vers la fin de l'automne a été pour moi un obstacle invincible. Désormais j'ai la gloire de pouvoir me dire aussi africain et plus africain que vous tous; car j'ai eu toutes les maladies de l'Afrique : il y a six ou sept ans j'eus une dysenterie et, l'été dernier, j'ai commencé par une fièvre pernicieuse et fini par une fièvre hépatique. Je suis tout à fait guéri maintenant; cependant il me reste une certaine fatigue qui m'empêche d'écrire longtemps; aussi les lettres longues me coûtent. Cependant dussé-je rester sur le carreau, je vous écrirai à tous; seulement je me contenterai de petites lettres, et, je n'ai pas de doute que vous ne soyez consentant à cet accord; mais en revanche je vais tâcher d'être plus fidèle que je n'ai été jusqu'à présent."


Sources : ND 13- pp. 11
Réf-bible :
Remarque :
 




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